21 août 2025

Honneur à un maire qui a érigé une stèle aux victimes du communisme

Par Michel Festivi

Le maire Les Républicains de Saint-Raphaël (83), Frédéric Masquelier, vient d’annoncer qu’il allait dévoiler le 23 août prochain, une stèle en mémoire aux victimes du communisme, car a-t-il très justement souligné « Aucun régime communiste n’a existé sans violence ». Il faut encourager fortement ces d’initiatives et espérer que d’autres communes de France suivront cette voie. Car il est une vérité absolue, le communisme a assassiné bien plus et plus longtemps que le nazisme, et le communisme continue de tuer encore de par le monde : à Cuba, au Vietnam, au Laos, au Nicaragua, au Venezuela, et bien sûr en Corée du Nord, véritable enfer rouge, et en Chine populaire, car nonobstant une économie dite de marché, la Chine continentale est communiste et emprisonne son peuple, martyrisant durement ses opposants.
Le Maire de Saint Raphaël est tellement dans le vrai, que des instances aussi peu insoupçonnables d’anticommunisme primaire comme le Conseil de l’Europe réuni à Strasbourg, avait en 2006 par 99 voix pour, contre 42 voix et 12 abstentions, voté « une condamnation internationale des crimes des régimes communistes totalitaires », sur le rapport d’un député Suédois, Göran Lindblad, alors représentant du groupe PPE. Bien sûr les délégués des pays de l’Est furent en pointe dans ce combat, et les élus communistes votèrent contre.

En septembre 2019, le parlement européen avait adopté une résolution quelque peu similaire, en plaçant officiellement, ce qui avait fait sortir de leurs gonds toutes les gauches et les extrêmes gauches : le nazisme et le communisme. Cette résolution rappelait d’ailleurs officiellement, le texte précédent de 2006 du Conseil de l’Europe. Elle mit directement en cause l’accord Hitler/Staline du 23 août 1939 et ses conséquences mortifères pour l’ensemble de nos nations. Elle rappela que pendant plus de 45 ans, les pays de l’Europe de l’Est étaient restés sous le joug communiste, et qu’aucun procès ou devoir de mémoire digne de ce nom n’a été entrepris contre le communisme, contrairement au nazisme, c’est clairement édicté dans ce document officiel.

Ce devoir indispensable de mémoire, le maire de Saint Raphaël l’a entrepris concrètement sur le terrain, il est important de le faire savoir. Car aussitôt nos communistes « français » ont poussé des cris d’orfraie, en fustigeant cette initiative, demandant des preuves des crimes du communisme. Quelle ignominie. ! Il suffit d’un mot de les renvoyer à l’étude du Livre noir du communisme, dirigé par Stéphane Courtois, publié en 1987, qui avec ses nombreux contributeurs avait fait un point plus que précis sur les 100 millions de morts du communisme, chiffres qui n’ont jamais été démenti scientifiquement, sauf par des injures. Ce livre a connu un succès planétaire, notamment dans les anciennes « démocraties populaires ».

L’anticommunisme
Auteur : Institut Emmanuel Ratier
Éditeur : Atelier Fol’Fer
Collection : Les Albums
Nombre de pages : 48
Format : Livre
20 €

(Pour obtenir L’anticommunisme, cliquez ici).

Je renvoie aussi nos communistes « français » et tous leurs soutiens de la gauche et de l’extrême gauche à la remarquable trilogie de Thierry Wolton, Une histoire mondiale du communisme, les Bourreaux, Les victimes, les complices, publiés chez Grasset à partir de 2015. Tout y est aussi tragiquement disséqué par le menu. Les communistes « français » y trouveront toutes les réponses qu’ils souhaitent à la véracité de leurs crimes, qui perdurent, comme je le répète, car l’idéologie mortifère communiste n’est pas finie et persiste toujours et encore à faire des ravages, de par le monde, et conserve de nombreux soutiens en France même, chez les centristes, certains gaullistes et le macronisme.

Pourtant le PC « F » a trahi la France et les français depuis sa création fin 1920, et jusqu’à aujourd’hui encore. C’est ce que j’avais expliqué, après bien d’autres, dans mon livre paru l’an passé chez Dualpha, La désinformation autour du Parti communiste « français », avec en sous-titre, Manipulations, trahisons, constructions de mensonges, soutiens aux pires tyrans, histoire et actualités. Mais les mensonges communistes ont un poids énorme dans la vie politique française. Un seul exemple, l’affabulation absolue des 75000 fusillés, dont on sait aujourd’hui, scientifiquement, qu’il y a eu en France environ 4500 fusillés dont peut-être une moitié pouvait se réclamer du communisme. Mais le pire dans cette mystification absolue, c’est que la plupart des fusillés « communistes », ont été en réalité fusillés comme otages et non comme résistants, car ils n’avaient jamais entrepris le moindre acte de résistance contre les Allemands, ayant été arrêtés par la police française avant le 22 juin 1941, pour soutien à Staline et au Pacte germano-soviétique ce qui en faisaient ipso facto des alliés des nazis, à l’image de Guy Môquet ou de Pierre Sémard. Dans ce livre, j’indique également que Georges Guingouin n’avait jamais fait aucun acte de résistance avant la fin de l’année 1941, et qu’il avait soutenu à fond le Pacte Hitler/Staline dans le Limousin, textes et écrits à l’appui, tout comme Marcel Paul d’ailleurs le tortionnaire sélectionneur de Buchenwald.

Il est impératif de souligner et d’encourager toutes ces initiatives, d’où qu’elles viennent, sur le rappel permanent des crimes et des mensonges du communisme. C’est une nécessité vitale pour la Vérité et contre les affabulations officielles qui empoisonnent notre vie politique.

Les livres de Michel Festivi aux éditions Dualpha :

Les trahisons des gauches espagnoles
L’Espagne ensanglantée
Miguel Primo de Riverapréface d’Arnaud Imatz
La désinformation autour du Parti Communiste « français », préface de Francis Bergeron
Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine (1936/1939), préface de Pio Moa

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