Y a-t-il encore un État ou faut-il croire que la France est devenue un domaine du non-droit ?
Dans les Deux-Sèvres, près du petit paradis des assureurs mutualistes, on a connu il y a peu une émeute, durant laquelle de merveilleux écolo-gauchos – des trotskistes fifils-à-papa ultra-friqués – se sont amusés à casser du gendarme, imaginant que, vu les relations de papa et/ou de maman, ils le faisaient en quasi-impunité.
Pari gagné ! Un tribunal – pourtant contesté par la défense !!! – a condamné les 5 émeutiers jugés à une peine de prison assortie du sursis. On ne jugeait, d’ailleurs, que quelques-uns des voyous qui avaient agressé les gendarmes et, cerise sur le gâteau, on ne les condamne qu’à une peine symbolique.
On aimerait savoir ce que pensent les deux dizaines de gendarmes hospitalisés – sur une soixantaine de blessés. Vont-ils continuer à servir une Ripoublique où les fils-à-papa de la gauche extrême et néanmoins ultra-friquée rejoignent dans l’impunité les émeutiers des banlieues surpeuplées d’immigrés exotiques ?
Car cette curieuse « décision de Justice » est, sinon un appel au meurtre de membres des forces de l’ordre, du moins un encouragement à la résistance aux autorités et à la poursuite des violences en bandes organisées.
Nous savions déjà que le milieu des politiciens de notre édifiante démocratie ressemblait fort à une mafia. Il faut désormais considérer qu’il existe un déclin de la notion d’autorité légitime, puisque les magistrats, qui condamnent sévèrement les poseurs de banderoles opposés à une immigration illégale – illégale, puisque jamais l’on n’a demandé son avis sur l’immigration-invasion au souverain légitime de l’État, soit le corps électoral –, se montrent étonnamment doux avec des émeutiers « de gauche ».
Dans notre État en voie de décadence accélérée, existerait-il une « Justice à double face » ? Cela définirait un pseudo-État mafieux ou, si l’on préfère, une « République bananière ».
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