Préhistoire de notre temps
Durant les années 1960, de puissants hommes d’affaires et d’influence d’Europe occidentale avaient été mixés à leurs grands frères des USA au sein du Groupe Bilderberg, pour influencer la politique des États faibles (ceux d’Europe occidentale et scandinave). En 1973, la crème du Bilderberg fut assaisonnée de quelques magnats japonais et devint la Commission Trilatérale (à ne pas confondre avec la création, dans ces mêmes années 1960, de quelques chefs d’États du Tiers Monde : la Tricontinentale, dominée par des marxistes lassés de la tutelle des gérontes du Kremlin… c’est lors d’une réunion de cet organisme, en 1966, que Fidel Castro et quelques marxistes programmèrent à leur façon brouillonne le mouvement des années 1967-70, dont chacun sait qu’il culmina en 68.
Dans les séminaires fort discrets de la Trilatérale (en France : le Club Le Siècle), l’on enseigna aux Européens et aux Japonais que la protection sociale est un boulet économique et que, privatisée sur le mode US, elle serait plus efficace (sans ajouter à qui profiterait cette efficacité). Idem que seul le libre-échange est bon, que le capitalisme familial et strictement national est dépassé, que l’épargne des individus est très mauvaise, étant pernicieuse au Big Business. En 1999, lors du raout annuel de la Trilatérale, tenu à Davos et largement médiatisé une fois n’est pas coutume, l’on a lancé le slogan : « Mondialisation responsable », pour se concilier les gogos et même quelques écologistes bourgeois, et l’on a créé une officine d’endoctrinement : le WEF (World Economic Forum).
L’économie devint globale et la vie politique, sociale et sous-culturelle fut mondialisée, par l’effet d’un impératif économique. C’était sans compter avec la perversité de milliardaires islamo-pétroliers sunnites qui voulaient ressusciter le califat, estimant venue l’heure d’une nouvelle vague de conquêtes pour l’islam. Ces émirs, sultans et roitelets, richissimes et fanatiques, commencèrent par investir massivement dans l’immobilier et le luxe, puis ils comprirent qu’ils pouvaient investir dans les milieux (dans toutes les acceptions de ce terme) politiques, médiatiques et sportifs européens.
À ce petit jeu, ils furent concurrencés par d’austères croyants, plus fanatiques et moins corrompus qu’eux. Ils tentèrent de les amadouer en finançant leurs achats d’armes et leur propagande, mais les exaltés prirent l’argent et poursuivirent leur délire politico-religieux, jusqu’au terrorisme global (visant aussi bien des musulmans que des infidèles), osant même coiffer les Saoudiens au poteau dans la résurrection du califat.
Et nous en sommes là ! Notre Europe occidentale, scandinave et danubienne est envahie d’immigrés islamiques, venus d’Afrique noire et maghrébine, du Proche-Orient (Irak, Syrie) et du Moyen-Orient (Afghanistan et Pakistan). La façon dont ces envahisseurs ont « payé » leur voyage est à elle seule riche d’enseignements : les voyageurs mâles ont été pour la grande majorité d’entre eux sponsorisés par des évergètes islamo-pétroliers.
On veut bien admettre que les politiciens d’Europe occidentale, surtout préoccupés d’obéir aux USA et aux États islamo-pétroliers, n’aient rien vu venir… encore que l’efflorescence de mosquées, la flambée de viols, les émeutes raciales, le trafic de Haschich, l’envolée de la délinquance et du racisme anti-Blancs auraient pu leur faire ouvrir un œil dès les années 1980, avant que la vague d’attentats, qui a débuté en 2014, prouve à l’évidence que la programmation de la fin de l’Europe des Nations autochtones est l’un des buts de cette immigration-invasion, en plus du triomphe d’Allah, réputé tout-puissant, mais plus du tout miséricordieux.