La torture chinoise au XXIe siècle : le port obligatoire du masque
La Covid-mania de l’An 2020 aura permis de faire croire en l’utilité des géniaux « experts » de l’OMS (l’Organisation Mondiale de la santé, dont les dirigeants ne sont que des politiciens aux ordres de super-politiciens, eux-mêmes tout dévoués aux demi-dieux de l’économie), d’éviter de stigmatiser la Chine pour la médiocrité extrême de l’hygiène publique de ses populations rurales et urbaines pauvres (70 % de la population) et surtout de transformer nos minables dirigeants en dictateurs au petit pied.
Il est idiot de continuer d’évoquer un complot dans l’origine de cette pandémie. La déforestation sauvage en Chine a provoqué l’invasion de vastes zones urbaines surpeuplées par des nuées de chauves-souris, réservoir naturel du coronavirus (ainsi que de bactéries et de divers champignons). L’absurde étroitesse des relations entre Chinois et animaux de toutes espèces et leurs curieuses habitudes alimentaires ont créé un foyer épidémique local, transformé en pandémie par les transports de l’ère mondialiste. Et ceci mérite une digression.
Le gouvernement chinois a innové, au début du XXIe siècle de l’ère qui n’est plus depuis longtemps « chrétienne », en créant l’association du totalitarisme politico-médiatique et de l’ultralibéralisme économique (entendre : le capitalisme esclavagiste), teinté dans le cas chinois du plagiat le plus éhonté des techniques inventées en Occident. Ceci met à mal les clowneries des « économistes de l’École de Vienne » qui nous juraient que le libéralisme économique était obligatoirement couplé au libéralisme politique et à la paix (relisez les innombrables laïus de Ludwig Mises – sa particule était de pure complaisance, la Première République autrichienne ayant aboli les titres de noblesse dès 1919).
L’élection US de novembre 2020 n’aura pour unique conséquence géopolitique que l’antithèse de la soumission ou de la résistance de l’Occident au monstre pékinois. Si Biden – l’homme des négociants et des financiers – l’emporte, les Chinois reprendront leur production-exportation de la pacotille de masse, inondant de nouveau tous les marchés occidentaux. Si Trump est remis en selle, il pourra poursuivre la réindustrialisation des USA et fera plier les dictateurs asiatiques, par les restrictions, salvatrices pour l’Occident, aux exportations chinoises.
Il restera aux Occidentaux soit de continuer de sourire aux évergètes chinois qui arrosent les honnêtes politiciens et les clowns des médias – imitant l’exemple des distributeurs d’islamo-pétrodollars et d’islamo-haschischo-dollars. L’état du marigot politico-médiatique européen, qui est au sens strict une mafia, fait comprendre pourquoi les clowns de l’Europe des Économies Unies Contre les Nations soutiennent Biden, vieux et honnête, mais traînant quelques casseroles nauséabondes (non seulement sexuelles, mais aussi intellectuelles : Mr Biden emprunte des idées voire des discours à autrui sans jamais citer ses sources), qui est un gentil toutou du grand négoce intercontinental.
Pour en revenir au corona-machin, le gouvernement chinois, ultrapuissant et très riche, a exigé des tristes sires de l’OMS que l’on impose à l’hémisphère Nord, puis au Sud, un isolement grotesque – qui ne serait adapté que face à une maladie aussi puissamment mortelle que la peste ou le choléra. L’on a ainsi empêché l’immunisation naturelle des populations, comme celle que l’on observe à chaque pandémie de grippe et qui permet de classer l’affaire au moins pour une génération.
Avec les stupides recommandations de l’OMS, on va pouvoir jouer « Covid-19 le retour », à chaque nouvelle saison froide et humide ! Sauf si les vaccins qu’on nous promet de diverses sources s’avèrent efficaces : une réponse sérologique n’implique pas obligatoirement une efficacité médicale ; l’exemple de l’hépatite C est bien connu.
En attendant – et bien que la mortalité rapportée au nombre de cas dépistés soit dix fois plus forte en France qu’en Suède, où l’on n’a pas décidé de confinement –, l’on persiste à fermer des écoles « dès qu’il y a plus de trois cas nouveaux recensés » et à imposer à tous le port d’un masque… qui n’est pas sans risque.
Respirer en circuit très peu ouvert (ce qui est le cas du masque) expose à une élévation du taux de gaz carbonique (CO2) dans le sang. C’est une source de maux de tête chez les migraineux et surtout cela peut provoquer la décompensation de leur état chez les insuffisants respiratoires chroniques… et il est infiniment plus important de savoir cela que d’être informé de la grogne de notre distingué Président-Dictateur-Général, incommodé, pauvre chéri, par son masque. Après tout, il nous ennuie (pour rester poli) avec ce « machin » mal adapté à la maladie ; il est normal, voire « démocratique », que sa Hautesse en supporte, elle aussi, les désagréments.
Seules les cibles bien connues et désignées par tous les médecins compétents – on a vu ce printemps que cela excluait un nombre phénoménal de clowns professoraux des facultés de médecine – devraient être concernées par les mesures d’isolement et de protection rapprochée.
En tout état de cause, la gestion de cette triste affaire aura été un fiasco planétaire presque complet, mais bien plus dramatique en France que dans de nombreux autres pays. Le ratio morts/cas répertoriés, dans les deux hémisphères, semble être de 3 % en cette fin de septembre 2020, soit presque un an après le début probable de l’infection – les Chinois semblent avoir menti d’un ou deux mois sur le début réel de l’épidémie !
Aux USA, pays le plus touché, le ratio est de 2,9 % (un peu moins de 204 000 morts sur 7,1 millions de cas dépistés) ; en France, le ratio avoisine les 6 % ; en Suède, où il n’y a pas de Macron et où il n’y eut pas de confinement, le ratio est bien inférieur à 1 % (0,67 %). On a beaucoup critiqué le Président du Brésil : il n’y eut pas de confinement, donc la crise économique fut modeste et le ratio morts/cas dépistés n’est que de 3 % (moins de 141 000 morts pour 4,7 millions de cas).
En résumé : Non ! Le Covid-19 n’est pas une pandémie gravissime comme le furent en leur temps les pandémies de peste, de choléra, ou de grippe maligne. Le « masque obligatoire pour tous » est une stupidité épidémiologique : il empêche l’immunisation naturelle. Restent à savoir si le vaccin commercialisé en Russie poutinienne tiendra ou non ses promesses et si une étude scientifique permettra ou non d’affirmer l’efficacité du cocktail marseillais qui a une fois de plus divisé les Français en deux camps ennemis.
Ce manichéisme reste la French Touch permanente et pour tous les sujets… du moins pour ceux dont il est autorisé de parler dans un pays où la liberté d’expression est de moins en moins évidente. Bientôt, l’on videra nos prisons de la racaille criminelle et dealeuse, pour y placer les « intellectuels déviants ».
Plutôt que de nous ennuyer avec le masque, Super-Président Macron et son invraisemblable bande « d’experts » feraient mieux de s’interroger sur le manque de lits et de médecins spécialistes en réanimation respiratoire : les hôpitaux publics et privés des USA et des pays scandinaves sont fort bien pourvus, à la différence des hôpitaux français.
Plutôt que de nous importuner avec ses humeurs et de jouer au maître du Liban ou d’ailleurs, il serait souhaitable que notre Hyper-Super-Génial PDG, grand gourou d’hygiène publique, s’occupe un peu des vrais problèmes français : une immigration violente de plus en plus dangereuse (meurtrière, vandale et incendiaire), un sous-équipement dramatique de la France non-parisienne, un totalitarisme rampant qui tente d’imposer des dogmes philosophiques, religieux ou même historiographiques, un chômage de masse et une paupérisation des Français de souche européenne, les seuls qui soient en adéquation avec la situation géographique de la France… toutes choses qui dépassent le Grand Homme ou ne l’intéressent guère.
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