Brèves d’Europe
Union européenne. Selon une première estimation de l’Office européen des statistiques Eurostat, la zone euro a enregistré sur les trois premiers mois de l’année un repli de 3,8 % de son PIB, du jamais vu dans la courte histoire de la monnaie unique, lancée en 1999. Le contraire eut été étonnant.
Dixit Phil Hogan, commissaire européen au Commerce : « Il doit y avoir un équilibre entre une Europe ouverte aux affaires et une Europe qui protège sa population et ses entreprises dans certains secteurs. Nous devons renforcer nos défenses pour que des pays ne profitent pas de la situation financière difficile de nos firmes. Nous allons regarder de plus près certains investissements étrangers ».
Allemagne. L’Allemagne a annoncé l’interdiction complète dans le pays des activités du puissant mouvement chiite libanais que réclamaient notamment et avec vigueur les États-Unis et Israël. Il s’agit en fait de la branche politique.
Celle-ci est accusée d’organiser des collectes de soutien, de recruter des sympathisants et d’organiser des manifestations appelant à la destruction d’Israël.
La cour constitutionnelle de Karlsruhe a rendu un arrêt d’une rare brutalité en mettant en cause le droit de la Banque centrale européenne de racheter de la dette publique des États, niant par là même la primauté du droit européen sur le droit national. Les juges viennent d’éparpiller façon puzzle l’euro et l’Union européenne. Affaire à suivre.
Tous les commerces sont désormais autorisés à ouvrir, peu importe leur taille, s’ils respectent des mesures d’hygiène et limitent le nombre de visiteurs simultanés.
Angleterre. Elle est devenue le pays européen le plus touché par le coronavirus avec 31 313 morts, soit un chiffre plus élevé que celui de l’Italie. Et le deuxième derrière les États-Unis. Les autorités sanitaires pensent que le pic est atteint. On le leur souhaite.
Autriche. Le ministre autrichien de la Santé annonce que, trois semaines après la réouverture d’une grande majorité de commerces dans le pays, la situation sanitaire est très stable et qu’il n’y a pour le moment pas de deuxième vague.
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