Trudeau contre Orban
L’arrogance de Justin Trudeau semble être sans bornes. Ce jeune blanc-bec, qui ne doit sa carrière politique qu’à son patronyme, se croit le droit et même le devoir de donner des leçons au peuple, qui est souvent en désaccord avec lui, à ses opposants politiques et même à ses homologues étrangers.
La semaine dernière, Ottawa s’est donc permis de s’ingérer dans les affaires intérieures hongroises, suite à l’annonce du déménagement de l’Université d’Europe Centrale (UEC), résultant des législations anti-Soros implantées par le président conservateur Viktor Orban.
Le gouvernement Trudeau a ainsi demandé à ce « que la Hongrie prenne les mesures voulues pour trouver une solution permettant à l’UEC de continuer à fonctionner librement à Budapest, surtout en raison des efforts importants qu’elle a déployés pour répondre aux nouvelles exigences imposées par la loi hongroise de 2017 sur l’enseignement supérieur ».
Chrystia Freeland, ministre canadienne des Affaires étrangères, a parlé d’une situation « inquiétante » portant « atteinte à la liberté universitaire, qui est un droit fondamental ». Pourtant, la liberté universitaire est loin d’être une priorité du gouvernement canadien et cette année de nombreux professeurs canadiens ont subi des pressions, car ils ne se conformaient pas à la pensée libérale dominant le monde de l’éducation post-secondaire. Le renvoi du professeur Rick Metha de l’Acadia University, le retrait de l’enseignement de Rick Peterson et les pressions contre le professeur Richardo Duchesne devraient pousser Justin Trudeau à s’intéresser à la « liberté universitaire » au Canada plutôt qu’en Europe centrale.
Mais évidemment Trudeau n’en a cure, au Canada ce sont des penseurs opposés au libéralisme qui se font censurer, alors qu’en Hongrie, c’est une université libérale menée par l’ancien chef du parti de Justin Trudeau, Michael Ignatieff, dirigeant du Parti Libéral du Canada de 2008 à 2011, qui doit fermer ses portes. Si la censure frappant les conservateurs est démocratique et saine, celle qui frappe les libéraux ailleurs dans le monde est antidémocratique et malsaine. À lui seul Trudeau incarne tous les stéréotypes de l’hypocrisie libérale.
Pour le Premier ministre canadien, cette université revêt une importance particulière, puisqu’elle est la création de George Soros, un ami personnel, en plus d’être un militant infatigable de ce mondialisme dont Trudeau est le porte-parole au Canada. Soros appuie Trudeau via sa kyrielle d’ONGs présentes au Canada, et celui-ci lui renvoie l’ascenseur en se servant de la diplomatie canadienne pour défendre les intérêts de ce dernier lorsqu’ils sont menacés. Et il faut le dire, cette université implantée en plein cœur de la Hongrie n’est point un projet totalement innocent, mais est plutôt, comme le dit l’auteur Pierre-Antoine Plaquevent dans Soros et la société ouverte, paru plus tôt cette année aux Éditions Retour aux sources, une véritable « pouponnière d’élites libérales ».
Cette université est un peu comme un cheval de Troie au sein de cette Hongrie résistante que Soros aimerait faire basculer.
Cela démontre bien que Justin Trudeau est à la remorque de son mentor Soros, dont la puissance des milliards est renforcée par celle des millions de Canadiens qui servent de caution à la politique de Trudeau, qui par ailleurs est fort peu populaire au pays.
L’exemple du Pacte mondial pour les migrations sûres ordonnées et régulières, signé cette semaine, est parlant. Le fait que Soros et Trudeau soient pour est plus important que le fait que des millions de Canadiens s’y opposent. Voilà à quoi ressemble la démocratie de la « société ouverte » rêvée par Soros et véhiculée par Trudeau.
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