21 février 2020

Petite guerre pour petits hommes (politiques)

Par Olivier Pichon

Emmanuel Macron vient d’augmenter le nombre des soldats présent au Sahel dans les opérations Barkhane de 4 500 soldats à 5 100, a annoncé le 2 février la ministre des armées Florence Parly.

C’est là une erreur, la France doit quitter, au contraire, cette région où le terrorisme dit islamique couvre en réalité des trafics et du banditisme traditionnels en tous genres dans une zone plus vaste que la Méditerranée où les dirigeants africains se montrent à la fois ambigus dans leurs positions et souvent incapables, comme leurs armées elles-mêmes.

Florence Parly.

Florence Parly.

On n’a pas vu que ce même « terrorisme » envoyait ses semblables en France pour commettre des attentats. Ceux-là sont le fait de Proche-Orientaux affiliés à L’État islamique, migrants, infiltrés, ou « Français » de retour de Syrie.

François Hollande, président, était sur la même position. Il ne put cacher sa joie, en 2013, en déclarant à Bamako après avoir lancé l’opération Nerval contre les djihadistes : « Je viens sans doute de vivre la journée la plus importante de ma vie politique ».

Charmé par l’infanterie de marine ou les parachutes de la légion étrangère, grisé par la foule qui l’acclamait sur la place de l’Indépendance. Cette griserie, Macron l’éprouve à chaque cérémonie aux Invalides pour la mort de nos soldats, tous les attributs visuels de la souveraineté sont là qui donnent l’illusion de sa défense alors qu’il ne cesse de la brader par ailleurs.

Par le grand remplacement, l’adoption du pacte mondial des migrations, l’abandon des fleurons de notre industrie et, cette chimère, de partager la défense nucléaire avec l’Europe. Celle-ci est par nature d’exclusivité nationale et son partage signe sa neutralisation.

La France, au Sahel, ne défend pas un limes européen, le limes il est en Méditerranée et l’agression est conduite par les trafiquants qui envoient les foules exclusivement masculines en Europe.

Et c’est par ce biais que l’islam veut imposer sa loi ; et c’est en France où la violence monte de toute part qu’il faut faire la guerre, car le « côte à côte » désormais est devenu « face à face » (Collomb) sur le territoire national.

 

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