20 juin 2016

La justice allemande banalise les viols commis par les migrants

Par Lionel Baland

Au sein des sociétés germaniques, l’afflux de migrants en provenance de pays musulmans conduit à une augmentation massive des agressions sexuelles et des viols. Le phénomène est connu depuis plusieurs années en Suède et en Norvège. L’ouverture des frontières en août 2015 par la chancelière allemande Angela Merkel a mené à l’explosion du nombre de ces faits en Allemagne et en Autriche. Face à cette situation, la justice de ces pays, dont le peuple peut attendre qu’elle réprime lourdement de tels actes, préfère s’enfoncer dans le laxisme plutôt que protéger la population.

La rencontre entre, d’une part, des hommes venant de sociétés musulmanes du Proche-Orient, du Moyen-Orient ou d’Afrique du Nord au sein desquelles le statut de la femme est bas, les mœurs sont très conservatrices et les relations hommes-femmes sont marquées par la ségrégation, et, d’autre part, une société de culture germanique au sein de laquelle le statut de la femme est très élevé, les mœurs sont fort libres et la séparation hommes-femmes est quasi-inexistante, conduit à des agressions sexuelles de masse perpétrées par ces hommes musulmans sur les femmes et enfants germaniques.

Au tout début de l’année 2016, la presse allemande avait caché durant plusieurs jours les agressions sexuelles de masse commises lors de la soirée du Nouvel-An à Cologne et dans d’autres villes d’Allemagne par des musulmans arrivés depuis peu en Europe. Lors de cette soirée de la Saint-Sylvestre, des faits sordides s’étaient également déroulés à Weil am Rhein, une petite ville allemande du Bade-Wurtemberg située sur la frontière française et suisse. Deux allemandes de 14 et 15 ans avaient été violées par quatre syriens âgés de 14 à 20 ans, dans l’appartement du plus âgé d’entre eux.

Les deux adolescentes avaient fait la connaissance de deux de ces individus via Internet sur un réseau social et les avaient rencontrés en présence d’un troisième lors de la soirée du réveillon. Elles s’étaient alors laissé convaincre de se rendre dans un appartement au sein duquel le jeune de 15 ans vivait avec son frère de 20 ans qui était déjà allé dormir. Les deux filles avaient alors subi des violences et été violées dans l’appartement. Le majeur, au lieu de s’opposer aux agressions, avait pris part aux faits. Les deux victimes avaient quitté l’appartement vers 23 heures et les trois plus jeunes agresseurs aussi. Les deux jeunes filles étaient rentrées à la maison et avaient appelé la police.

Peu après les faits, la nouvelle des viols avait circulé sur Internet et la politique d’information de la police y avait été critiquée car les autorités s’étaient tues dans l’intérêt de la protection de la jeunesse et des victimes.

En ce mois de juin 2016, la juridiction de la jeunesse du tribunal de Fribourg-en-Brisgau a rendu sa décision à propos de ces faits. Le juge condamne les agresseurs à de la prison avec sursis, car il estime que ces jeunes « réfugiés de guerre » voyageant seuls sont « encore presque des enfants » et que celui de 20 ans est immature. Par conséquent, le droit des mineurs a été appliqué aussi à celui-ci. Les désormais coupables, qui ont déjà passé six mois de prison en détention préventive, sont tous condamnés : celui de 20 ans reçoit un an et neuf mois avec sursis, les deux de 14 ans se voient être frappés d’une peine d’un an et cinq mois avec sursis et celui de 15 ans prend un an et deux mois avec sursis.

Un fois de plus, la justice, qui n’hésite pas à condamner lourdement les opposants politiques sur leurs opinions, se montre laxiste vis-à-vis des violeurs et agresseurs sexuels venus de l’étranger

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Philippe Randa,
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