26 octobre 2019

Le frugalisme n’est pas à la portée de toutes les bourses

Par Philippe Randa

Connaissez-vous le frugalisme ? C’est un mode de vie prôné par certains afin de travailler moins pour adopter une vie modeste, mais heureuse. Comme l’explique, dans les colonnes du Monde, Catherine Rollot partie à la rencontre de ces « promoteurs de la retraite à 40 ans » : « La méthode Fire, venue des États-Unis, vise à acquérir une indépendance financière afin de quitter le monde du travail le plus tôt possible. Un objectif de vie au-dessous de ses moyens qui demande de sacrées économies. »

frugalisme

Venu d’Outre-Atlantique, le mouvement frugaliste prêche non seulement la déconsommation, mais s’insurge aussi – et peut-être surtout – contre la « dégradation de la santé mentale au travail », comme nous l’explique de son côté le site Welcome to the Jungle, soit « moins dépenser, épargner plus pour ne pas se laisser happer par la société et atteindre la liberté financière ». Tout un programme !

Certes, l’idée peut paraître alléchante… du moins si l’on en a les moyens : «  Le concept est majoritairement accessible aux classes supérieures et moyennes. En effet, dans la majorité des cas, dépenser moins suppose au préalable d’avoir le choix. »

Catherine Rollot le confirme d’ailleurs : «  Une fois l’emprunt de son appartement parisien payé, (Victor Lora, un frugaliste organisateur de “meet-up” vespéral) ne dépense pas plus de 1 000 euros par mois. En quelques années, grâce à son confortable salaire de 5 000 euros, il a déjà acheté plusieurs appartements, en grande partie à crédit, au prix d’une vie d’ascète. »

Prolétaires, chômeurs, smicards et autres petits et moyens salaires sont donc priés de s’abstenir : se serrer la ceinture et prendre sa retraite à 40 ans n’est, à l’évidence, pas dans leurs moyens.

Peut-être pas non plus dans les moyens de ceux qui voudraient fonder une famille : il n’est pas certain que leur progéniture apprécie particulièrement la facétie… du moins si je m’en réfère à ma propre expérience paternelle.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :