9 janvier 2017

Désobéir est devenu un devoir

Par Marie-Simone Poublon

Désobéissons pour protéger nos valeurs, nos vertus, notre culture, nos choix et notre liberté.

Face à une société doctrinaire et liberticide qui ne laisse place qu’à la soumission et fait tout pour nous empêcher de penser et de nous exprimer autrement, de rêver, de nous épanouir, de créer et même de vivre, il est pour notre survie indispensable de se manifester et de lutter contre les politiques qui nous trahissent.

Trahison de l’humain, trahison des animaux, trahison de notre civilisation.

Le peuple imite l’État. Quand ses représentants volent, mentent et trompent, les citoyens le copient. Aucune chance de sortir de ce cercle vicié et vicieux sans des hommes et des femmes vertueux à la tête de l’État. Ainsi seulement la société redeviendra vertueuse.

Prenons pour exemple Henry David Thoreau, au XIXe siècle, un garçon intelligent et somme toute courageux en son temps, qui refusait, lui, de payer ses impôts pour alimenter une politique esclavagiste des autorités américaines.

Actuellement un homme désobéissant, bon et digne, Giuseppe Belvedere, lutte contre la tyrannie de la mairie du IVe arrondissement de Paris. À 72 ans, sa vie est détruite et il est à la rue(1). C’est pour cette raison que j’ai écrit le livre Les oiseaux de la colère, dont les droits d’auteur lui sont intégralement versés.(2)

Désobéissons par les mots ou les actes et disons-le haut et fort !

Quand tout ce qui n’est pas devenu obligatoire est devenu interdit, refusons de cautionner une politique de la soumission à l’autorité qui a perdu tout crédit et qui nous enlève petit à petit nos valeurs et notre identité sans que nous levions le petit doigt !

Mais ne diabolisons pas ceux qui pourraient affirmer et agir pour notre civilisation chrétienne – un chrétien meurt pour sa foi toutes les 6 minutes(3) – sinon nous risquons de voir la France définitivement aux mains d’hommes et de femmes individualistes pervertis, sans foi ni vergogne.

Pensons à la génération future qui va se trouver soumise aux communautarismes et s’éteindre peu à peu comme une bougie consumée que l’on renouvellera sans doute… avec les migrants.

Réveillons-nous… un homme doit vivre debout et mourir debout.

Notes

 

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Philippe Randa,
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