13 novembre 2017

Macron fait son show

Par Marie-Simone Poublon

Après l’humoriste Hollande voici enfin venu le comique Macron !

Que dire lorsqu’il fait semblant de chanter Toréador de Carmen à l’opéra de Strasbourg entouré de choristes amateurs ?

Que dire de ce coup de téléphone à son Premier ministre Édouard Philippe en pleine classe dans l’émission « au tableau » sur C8 ?

Que dire lorsqu’il envisage de renoncer à fêter le 50e anniversaire de mai 1968 voulant donner à ses commémorations une dimension internationale ?

Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron.

Que dire lorsqu’on le soupçonne de ne pas aimer les provinciaux, les petits et les chômeurs ?

Que dire lorsque la France s’islamise au point de laisser les nouveaux entrepreneurs (sans doute aidés par l’ACCRE [1]) lancer des applications pour repérer les enseignes de restaurant Halal ? (2)… Comme si on avait le choix dans les abattoirs de différencier l’abattage halal du non halal ! Foutaise !

C’est le « bordel » (dixit Macron) sur la scène parisienne ! Que l’on soit « anti » ou « pro », le débat ne fait pas recette. Et pour cause, Emmanuel laisse faire. Il veut faire son one man show.

Paris sera toujours Paris ! chantait Maurice Chevalier.

Amoureux de l’ancienne capitale rayonnante et luxueuse, propre et belle, il va falloir se résoudre. Paris, c’est fini ! Maintenant, c’est un Paris qui pue, sans voiture, sans emploi et pleine de migrants, sale et déshumanisée, pleine d’agressions et de vols. Entre l’odeur nauséabonde des ordures qui jonchent les rues, les klaxons, les maires d’arrondissements complètement fous qui tuent tous les oiseaux, les fourrières débordées et les dégénérés de tout genre, il y a une mesure immédiate à prendre : lâcher Paris !

Oui, Paris c’est vraiment fini ! c’est comme pour Capri !

Les grands ambitieux comme Anne Hidalgo « draguent » dans le gouvernement Macron. Ils s’imaginent pouvoir combler l’enfant gâté et multiplient eux-aussi les faux-semblants et les émissions show biz pour lui faire plaisir. Du grand guignol ! N’ont-ils rien d’autre à faire ?

Le comique joue avec nos nerfs. Il ne pense qu’à l’argent ! Le populisme, toujours lui ! Pour être aimé il faut faire dans le comique pour la joie du plus grand nombre qui regarde Secret story ou Bachelor.

Mieux qu’un sketch de Popeck, qui lui nous fait rire contrairement à l’autre, Paris va à vau-l’eau. Lorsque la coupe sera pleine, il faudra peut-être au comique « président européen » une nouvelle capitale à amuser. Berlin peut-être ? Angela devrait avoir un rôle dans le prochain spectacle dont le titre sera « Ich liebe dich, mein Führer ! »

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Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

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