24 avril 2020

Pandémie : Mais qui sont les supporters ?

Par Claude Janvier

Réflexion intense et bénéfique sur fond de délire confinatoire. Rien de tel qu’une déconnexion des médias mainstream et de leur propagande vomitive nuisant gravement à la santé d’esprit. Instiller la peur, distiller le chaos, telle est leur devise. Ils obéissent aux ordres d’une clique qui font la pluie et le beau temps sur la planète. Bienvenue dans le monde glauque du Bohemian Club, du Skull and Bones, de la Round Table, du Club de Rome, du Bilderberg et de la Trilatérale…(1).

Bohemian Club

Les marionnettistes planétaires se réunissent plusieurs fois par an pour ripailler tout en mettant au point leur stratégie mondialiste. Ils sont tous membres interactifs de ces clubs fermés et confidentiels. Comment font-ils pour immobiliser toute une planète, pour obtenir un consensus international et pour bloquer l’économie mondiale ? Même le Bhoutan a organisé le confinement total. C’est vous dire (2).

Utilisant des leviers comme Bill Gates ou Mark Zuckerberg, qui envoient des messages « rassurants et bienveillants »* pour lutter contre le coronavirus, ils œuvrent dans l’ombre.

(* Traduisez : Ils vont nous pondre un vaccin et obliger toute la population terrestre à se faire piquer (3). Si vous pensez que c’est pour votre bien, oubliez !)

Car la véritable raison est le contrôle du genre humain. Puce, GPS, tracking, reconnaissance faciale, fichage numérique, etc. Ce n’est pas pour la sécurité de la population mondiale, mais pour accroître leur pouvoir et leur contrôle planétaire. Une obsession les hante : Comment contrôler les gens.

Afin de mieux comprendre les motivations de cette clique corrompue, criminelle et totalement cinglée, il est nécessaire d’élargir sa compréhension de l’esprit humain. Le corps médical psychiatrique, soi-disant spécialiste du sujet, nous noie sous un tas d’appellations et, du coup, personne ne réalise le problème. Sociopathe (4), psychopathe (5), schizophrène, névropathe, bref tout un tas de « pathes » – aux œufs frais ? – qui ne définissent pas la cause réelle du problème.

En réalité, une personnalité antisociale est quelqu’un dont le but, de façon ouverte ou couverte, est de détruire. Ce genre de malade mental, car c’en est un, se lève le matin et se couche le soir avec cette pensée : Détruire et contrôler. Rien à voir avec un petit malfrat occasionnel ou avec une explosion colérique que chacun peut avoir avec son conjoint ou son voisin.

Sous couvert d’aide humanitaire, son but est le même : contrôler et détruire. Le problème est que ce genre de personnage n’est pas souvent en prison, voire jamais. Les exemples passés sont assez faciles à trouver : Gengis Khan, Claudius Caesar Néron, ex-empereur de Rome, José Lopez Rega, ex-créateur des escadrons de la mort en Argentine, Augusto Pinochet, ex-dictateur Chilien, Charles Taylor, ex-dictateur du Libéria, Pol Pot, ex-chef des Khmers Rouges au Cambodge, Adolf Hitler, Joseph Staline, pour n’en citer que quelques-uns. Tous disaient œuvrer pour le bien de l’humanité. En réalité, et à chaque fois, l’enfer s’est déchaîné pour les populations.

C’est un concept très difficile à comprendre. Détruire tout ce qui bouge, mais en apparence œuvrer pour le bien de tous. La majorité de la population ne peut pas appréhender ce genre de raisonnement machiavélique et tordu. « Plus jamais ça », peut-on voir écrit sur les mémoriaux. Malheureusement, le fait de l’écrire n’arrêtera pas les massacres. Si c’était vrai, ce serait merveilleux. Mais la réalité est plus froide et terrible que la compassion tendance bisounours.

« À nos morts », « Plus jamais ça », « À nos fils morts pour la patrie ». Familles brisées, vies détruites, misères et souffrances. Tous ces morts qui sont trop souvent morts pour rien. Car l’histoire se répète et se répétera encore et encore. À cause de qui ? À cause de ceux qui ont les neurones esquintés, qui veulent le malheur de l’humanité, car ils ne sont obsédés que par deux choses : contrôle et destruction.

Plus contemporain et plus sournois que les dictateurs cités plus haut, vous avez la myriade de ceux qui dirigent les trusts industriels, les services secrets, les agences de renseignements, ainsi que quelques militaires de haut vol.

Ce sont eux qui se réunissent chaque année à Monte Rio en Californie, à 120 km au Nord de San Francisco dans un immense domaine de 1500 hectares de nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs. Les affaires de ce monde sont débattues au milieu de rites étranges d’inspirations druidiques. Bûcher nocturne devant une immense statue de hibou censée représenter Moloch (divinité babylonienne à laquelle on sacrifiait des humains), j’en passe et des meilleures… Non, ce ne sont pas les studios d’Hollywood, mais bien le gratin mondial, où juges de cours suprêmes fricotent avec les Rockfeller, Colin Powell, Dick (Dark) Cheney et le PDG d’IBM. Bienvenue dans le Bohemian Club.

Le CFR, Council on Foreign Relations, fondé en 1921 par la « Round Table », elle-même créée par Cecil Rhodes en 1881, fondateur de la Rhodésie, pays « sympa », a aussi le nom de « Establishment », de « gouvernement invisible » ou de ministère Rockfeller des Affaires étrangères. Organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des citoyens américains et qui comptent parmi les plus influents de ce pays, le CFR exerce un contrôle étroit sur les nations occidentales. Il est contrôlé par le syndicat Rockfeller et sert à concrétiser son but : la création d’un « gouvernement mondial unique ».

Le cercle le plus intime du CFR est l’ordre de « Skull & Bones ». Charmante photo des membres avec au centre un crâne et des tibias croisés. On pourrait y reconnaître d’anciens Présidents des USA, car certains ont fréquenté le club. À chacun d’apprécier le décor. En tout cas, il correspond à leur fonctionnement mental : « Destruction et contrôle ».

Skull & Bones ! Crâne et os ! Un vrai décor satanique. Ils auraient profané la tombe de Geronimo et utiliseraient le crâne de ce dernier lors de leurs cérémonies. Une plainte a été déposée par un descendant du célèbre rebelle Apache afin de récupérer la dépouille de son ancêtre (6) ?

Utiliser la dépouille de quelqu’un pour faire joujou relève d’une grande pathologie morbide. Imaginez que les restes de votre aïeul soient utilisés sans votre consentement. Je vous laisse juge.

Les tourments de cette planète découlent, presque en totalité, des membres de ces sociétés secrètes. Ils dirigent le monde. Ils décident de votre avenir. Ils créent ou cassent l’économie. Ils instaurent et fomentent les coups d’États. Ils contrôlent les médias. Danse avec les fous !

Avec ces dérangés mentaux en costumes trois-pièces, on joue avec le feu. Leur seul point faible serait de se retrouver dans la lumière des projecteurs et qu’une majorité de gens ouvrent les yeux sur qui ils sont vraiment. Et à ce moment-là, tout peut s’inverser. Leur suprématie n’est pas gravée dans l’Airain.

Notes

(1) https://urlz.fr/cswr ; https://urlz.fr/cswu ; https://urlz.fr/cswx ; https://urlz.fr/cswA ; https://urlz.fr/cswS

(2) https://urlz.fr/cswC

(3) https://urlz.fr/cswG

(4) https://urlz.fr/cswI

(5) https://urlz.fr/cswP

(6) https://urlz.fr/cswK

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :