19 avril 2020

Dettes : le recours au principe de la remise jubilaire

Par Philippe Randa

« Plus d’impôt, plus de travail… Comment va-t-on payer l’addition du coronavirus ? », s’interrogeait BFMTV le 6 avril dernier… Oui, comment ? Mais aussi Qui ? Quand ? Questions récurrentes en une époque où l’on a « interdit » – de fait ! – de travailler. Restez chez vous, braves gens, l’État fait tourner la planche à billets : « La pandémie fait exploser les déficits publics des pays européens. L’absence de solidarité entre États est compensée par la BCE, qui rachète massivement les dettes émises sur les marchés » informe Alternatives économiques qui ajoute néanmoins : « Cela suffira-t-il ? »

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Alors, quoi ? Faire payer l’ennemi vaincu (rappelons-nous du célèbre « L’Allemagne paiera ! », lancé après la Grande Guerre ? On sait ce qu’il advint de cette exigence de Matamores…

A-t-on les moyens de présenter l’addition à la Chine où est apparu le coronavirus ? Et celle-ci, dont on peut fortement douter de l’acceptation d’un tel ukase, en aurait-elle d’ailleurs les moyens au regard des sommes colossales en jeu ?

Et donc, qui va payer ? Les contribuables de toutes les nations ? En a-t-il jamais été autrement, d’ailleurs ? À moins, bien évidemment, qu’à l’impossible nul n’étant tenu, de telles dettes publiques irremboursables soient tout simplement effacées.

Ce ne serait pas une première historique où lors de trop grandes périodes de troubles liées au poids de la dette, celles-ci ont déjà été « effacées ». On retrouve même les traces de ces mouvements dans la Bible, soit la pratique du Jubilé et le principe de la remise jubilaire.

D’ailleurs en 2012, François Buonomo le suggérait déjà dans un article des Échos : « Le recours à une pratique exceptionnelle dans le monde antique peut redonner un sens emblématique à la civilisation européenne. »

À défaut de rebond monétaire, un rebond civilisationnel ? Et pourquoi pas !

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