2 novembre 2024

Une lumière derrière Israël ? (deuxième partie)

Par Euro Libertes

par Raymond H. A. Carter

Docteur en droit public, Docteur en Droit pénal international et titulaire d’un Ph. D. in International Relations & Diplomacy, le Colonel (H) Raymond H. A. Carter a effectué sa carrière au sein de la Gendarmerie Nationale ; pionnier en France de la Défense Verbale, il est professeur diplômé d’État en arts martiaux et en sports de combat et pratique également le tir (armes de poing et d’épaule) depuis l’âge de 16 ans. Il est par ailleurs PDG de Cormoran Group SAS (Conseil et Audit sûreté et sécurité & Formation) et l’auteur de plusieurs livres spécialisés.

Raymond H. A. Carter.

1 – Renaissance d’Israël avec 3 temps forts.

1948 : Après la Shoah (1941-1945) qui fit près de 6 millions de victimes, quoi qu’en pensent les négationnistes, a lieu la nouvelle naissance d’Israël, héritage de Yahweh, le 14 mai 1948 avec David Ben Gourion (1886-1973) qui lira la Déclaration d’indépendance de l’État d’Israël après l’abolition du mandat Britannique, y indiquant notamment que « Eretz-Israël est le lieu où naquit le peuple Juif. C’est là que se forma son caractère spirituel, religieux et national. C’est là qu’il réalisa son indépendance et créa une culture d’une portée à la fois nationale et universelle. C’est là qu’il écrivit la Bible et en fit don au monde… »

Même si l’on peut contester le droit du présent État d’Israël à invoquer le passé juif (mot dérivant de Judée) de la Palestine, province créée après leur exil qui passera sous contrôle britannique suite à la 1ère guerre mondiale après d’autres invasions (… romaines, byzantines, arabes musulmanes, du royaume Francs et ottomane) pour fonder sa légitimité, il n’en demeure pas moins que les faits mentionnés dans ces phrases restent avérés, basées sur la Torah constituant les 5 premiers livres de l’Ancien Testament, et ce même si la compréhension de ces textes, qui posent encore des problèmes aux historiens, ne s’en résolvent pas moins avec le temps.

Si l’Histoire retient la création de cette nation en terre de Palestine, où est né le peuple juif et s’est formé le judaïsme au cour du premier millénaire avant J.-C., la seconde naissance de cette nation n’en constitue pas moins un miracle en regard des prophéties Bibliques, dispensées sur les 66 livres que la constituent écrits par une quarantaine d’auteurs sur une période de plus de 15 siècles et qui, autre prodige, demeure le Best-Seller de tous les records (100 millions d’exemplaires vendus dans le monde par an) connu dans la quasi-totalité des pays de notre planète aujourd’hui. Les hommes passent mais pas la Parole de Dieu ni celles du Nazaréen (Matthieu 24 :35) qui demeurent et gardent une prodigieuse fraicheur qui continuent d’atteindre des millions d’âmes et de cœurs, et demeurent, et ce sans que le Christ-Jésus n’en écrivit aucun aucun propos de sa propre main ; « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Matthieu 24 :35). Sans oublié que l’hébreux est l’exemple type d’une langue ressuscitée, même si elle n’a jamais été une langue morte !

La prophétie d’Esaïe 11 :11-12 se réalise : « Dans ce même temps, le Seigneur étendra une seconde fois sa main, pour racheter le reste de son peuple, dispersé … Et dans les îles de la mer. Il élèvera une bannière pour les nations, Il rassemblera les exilés d’Israël, et il recueillera les dispersés de Juda, des quatre extrémités de la terre ». Après la publication de « l’État des juifs » en 1896 par le fondateur du sionisme en 1897, l’autrichien Théodor Herzl (1860-1904), et la Déclaration Balfour du 02 novembre 1917 par les Britanniques ouvrant la voie à « l’établissement d’un foyer juif en Palestine », l’O.N.U. votera un plan de partage de la Palestine en 2 états le 29 novembre 1947, prélude à la renaissance d’Israël et de ses problèmes actuels. Il faut se rappeler que vers l’an 1000 avant J.-C., une grande partie de la Palestine se trouve aux mains des tribus qui composent le peuple hébreu du royaume d’Israël. C’est le seul cas dans l’Histoire du monde où un pays renaît après avoir cessé d’exister 2 fois : 1°) – De 587 à 538 av. J.-C. lorsque le peuple hébreux fut emmené captif à Babylone après la destruction du premier temple de Salomon, à cause de son infidélité et de ses péchés à l’encontre de Yahvé, et d’où il reviendra 70 ans plus tard ; puis 2°) – C’est la guerre menée en Judée en 70 par l’empereur Titus (39-81) qui va jouer un rôle déterminant dans la dispersion du peuple juif à travers le monde, après la destruction du Second Temple de Jérusalem, comme en témoigne Flavius Josèphe (37-100), conformément à la mise en garde de Deutéronome 28 :58-64 prévoyant sa dispersion « parmi tous les peuples, d’une extrémité de la terre à l’autre ». Et malgré moults massacres, une partie du peuple survivra à l’étranger. Non seulement le Dieu YHWH accomplit ce qu’Il dit, mais il dit ce qu’Il accomplit. Joël 2 : 27 : « Et vous saurez que je suis au milieu d’Israël, Que je suis l’Éternel, votre Dieu, et qu’il n’y en a point d’autre, Et mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion ». Mais que dire de l’Alyah ?

  1. L’Alyah en 3 temps forts.

Alors qu’Israël revient sur le devant de la scène mondiale, l’alyah se réalise et se renforce. « Car voici, en ces jours, en ce temps-là, quand je ramènerai les captifs de Juda et de Jérusalem » (Joël 3 :1). 3 temps précis retiennent notre attention :

1989 : Dans la nuit du 09 novembre 1989, c’est la chute du Rideau de Fer (1961-1989) du mur de Berlin. La prophétie de Jérémie 31 :7-8 se réalise : « Levez-vous, montons à Sion, vers l’Éternel, notre Dieu ! Car ainsi parle l’Éternel : Poussez des cris de joie sur Jacob, Éclatez d’allégresse à la tête des nations ! Élevez vos voix, chantez des louanges, et dites : Éternel, délivre ton peuple, le reste d’Israël ! Voici, je les ramène du pays du septentrion, Je les rassemble des extrémités de la terre ; Parmi eux sont l’aveugle et le boiteux, La femme enceinte et celle en travail ; C’est une grande multitude, qui revient ici ». Le Septentrion, c’est le Nord. Et la Russie est exactement au Nord d’Israël (!) À partir de cette date, ce sont environ 1,7 millions de juifs qui émigrent depuis l’URSS antisémite vers Israël avant sa dislocation le 26 décembre 1991, pays 25 fois plus petit que la France,  pour constituer les 9 millions de citoyens juifs qui y demeurent (environ 2,5 millions de Juifs ont émigré en Israël entre 1948 et 1994 dont 65 % originaires d’Europe et d’Amérique, 19 % d’Afrique et 15 % d’Asie) ; pays entouré de plus de 150 millions de musulmans pour la quasi majorité hostiles à Israël, et qui sortira miraculeusement vainqueur de la Guerre des 6 jours (5 au 10 juin 1967) contre l’Égypte, la Syrie et la Jordanie.

1993. Violence et terreur cette année-là autour des Accords d’Oslo du 13 septembre 1993 constitués par un ensemble de discussions secrètes entre négociateurs israéliens et palestiniens en Norvège et signés à Washington par Yitzhak Rabin (1922-1985), Yasser Arafat (1929-2004) et Bill Clinton (1946-) en vue de poser les premiers jalons d’une résolution du conflit israélo-palestinien. Ils instaurent un mode de négociations pour régler le problème et poser une base pour une autonomie palestinienne temporaire de 5 ans en vue de progresser vers la paix, qui se concrétiseront le 4 mai 1994 avec l’accord Gaza-Jéricho qui investit la nouvelle Autorité nationale palestinienne aux pouvoirs limités, avant l’accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza (ou « Accord de Taba ») signé le 28 septembre 1995 à Washington, prévoyant notamment les premières élections du Conseil législatif palestinien. Les accords d’Oslo seront combattus par le Hamas, (assassinat, attaques terroristes, kidnappings, etc.) soutenu comme les Hezbollahi par l’Iran, afin qu’ils n’aboutissent pas.

2024. Les massacres contre des juifs du 7 octobre 2024 à Gaza par le Hamas durant lesquels plus de 1200 personnes seront tuées, pour la plupart civils, et qui fera plus de 240 otages, constitue le pire pogrom depuis la Shoa. Cet évènement funeste offre une forte tribune internationale à l’antisémitisme, et va amener de nombreux juifs français à embrasser une Alyah accélérée, nouvelle immigration en Terre Sainte. Depuis cette date, 2600 personnes ont émigré en Israël. Selon les données de l’Agence juive et du ministère israélien de l’Alyah et de l’Intégration, le nombre de ses dossiers déposés a augmenté d’approximativement 430 % en France. Cela représente un chiffre de 1200 personnes, alors que 220 personnes avaient effectué cette première démarche d’émigration en 2023 sur la même période ; sachant, comme le rapporte le ministère de l’intérieur, que près de 1300 familles ont participé aux soirées d’information organisées par cette Agence dans toute la France, suite à une haine ancestrale qui augmente, attisée par le Hamas et ses soutiens français comme étrangers. Le Hamas, un mouvement de résistance islamiste constitué de radicaux sunnites fondé en 1987, utilise violence et cruauté pour semer la mort. L’article 7 de sa Charte en définitif sa mission : « tuer les juifs et faire disparaître Israël. »

Ce qui n’est pas forcément la pensée de tous les arabes et musulmans du monde entier, s’entend. Ce mouvement de libération, financé et armé par l’Iran, en contact avec les banques du Nouvel Ordre Mondial à travers des réseaux bancaires corrompus liés à la criminalité internationale, ne souhaite pas la paix avec Israël et n’en terrorise pas moins une partie du peuple palestiniens vivant à Gaza (musulmans inclus), soit près de 4 millions dont un partie n’est pas pro-Hamas mais forcée à demeurer surplace, lui servant de bouclier humain comme l’attestent de nombreux témoins. Une partie des aides du corridor humanitaire est détournée par cette maffia terroriste locale, en lien avec la criminalité internationale, pour ses objectifs terroristes ainsi qu’on le constate aujourd’hui.

En 2006, le Hamas prend le contrôle du territoire palestinien, utilisant ainsi une grande partie des fonds du soutien international pour s’armer et construire des kilomètres souterrains afin de se protéger et de pouvoir s’enfuir, comme ce sera le cas de Yahya Sinouar (1962-2024). Il faut se rappeler que si Israël est attaqué et ne se défend pas, il sera anéanti ; et que ses réactions en légitime défense visent d’abord sa survie et celle de ses ressortissants (musulmans inclus) ; et même si la légitime défense est de plus en plus contestée et désavouée au sein de nos sociétés dites ‘démocratiques’ en perte de références, à commencer par la France où elle risque très vraisemblablement de s’amalgamer avec ‘Légitime défonce’ et Légitime violence si rien n’est fait promptement ainsi que nous l’avons développé par ailleurs. Nos sociétés occidentales sont de plus en plus malades de violences (verbale et physique) et d’insécurités qui envahissent le pays et asphyxient les citoyens, d’abord parce qu’aujourd’hui plus que jamais, il n’y a plus de Chef, plus de capitaine à la barre nationale, à la tête du pays comme de ses institutions…

Le Hamas s’est opposé par une déclaration de guerre asymétrique aux accords d’Abraham (2020-2023) composés respectivement par le traité de paix entre Israël et les Émirats arabes unis d’une part, et entre Israël et celui de Bahreïn d’autre part, annoncés le 13 août 2020 par le Président Donald Trump (1946-) et signés le 15 septembre 2020 à Washington, accompagnés d’une déclaration tripartite également signée par ce président en tant que témoin. Ces accords seront prolongés par ceux pris avec le Soudan et le Maroc. Et Israël devient le point central d’un conflit qui se mondialise par la terreur et le mensonge sous une angoisse multiculturelle grandissante.

  1. Nouvel Ordre Mondial et Antichrist.

C’est la création le 1er juillet 1973 à Tokyo de la Commission Trilatérale qui va présider à l’élaboration du concept géopolitique du Nouvel Ordre Mondial partisan du mondialisme, avec d’autres entités (Groupe Bilderberg, Concil on Foreign Relations, etc.) autour de personnalités comme David Rockfeller (1915-2017), Henry Kissinger (1923-2023) et Zbigniew Brzezincky (1928-2017). Elle regroupe 300 à 400 personnalités souvent anonymisées (Monde des affaires et financiers, politiques, décideurs, intellectuels, etc.) influentes d’Europe occidentale, d’Amérique du Nord, d’Asie et du Pacifique. Son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, les pôles de la Triade dominant l’économie mondiale avec le vœux à peine voilé d’établir un État mondial pour supplanter les souverainetés nationales, à commencer par celle de la vieille Europe, berceau judéo-chrétien du monde, singulièrement ciblée et profondément déstabilisée de nos jours (ce n’est pas un hasard !) en vue de sa neutralisation, et supprimer les nations et leur liberté, en dépit du Jugement des Nations annoncé par l’Éternel (Joël 4).

Cette mondialisation, notablement confirmée par la criminalité, tant nationale qu’internationale dont la lutte (prévention comme répression) doit prioritairement commencer par l’occupation ferme et une présence réelle et déterminée sur les différents terrains qui la concerne[2], touche aujourd’hui l’ensemble des secteurs politico-économico-sociaux planétaires et affecte de plus en plus d’Hommes de diverses façons, notablement au niveau de leurs libertés, à commencer par la plus grande : celle que nous avons vis-à-vis du Créateur de l’accepter ou le rejeter. L’Antichrist annoncé par la Bible, adversaire ultime de Dieu, est l’imposteur maléfique qui essaiera de « changer les temps et la loi » (Daniel 7 : 25) en tentant de se substituer au Christ-Jésus (1 Jean 2 :18). « L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers » (2 Thessaloniciens 2 :9). « Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi » (Daniel 7 :25) ; ce à quoi on assiste aujourd’hui par la juxtaposition de plusieurs entités athées et religieuses … L’acharnement actuel contre les juifs et les chrétiens au niveau mondial n’en constitue-t-il pas un début de preuve ?

« Quand les fondements sont renversés, le juste, que ferait-il ? » (Psaume 11 : 3). Comme l’attestent les dernières décennies, l’Homme veut encore essayer de tuer Dieu par ses paroles et ses actes, même si la Science en ressuscite l’Existence aujourd’hui[3]. L’homme veut vivre sans Dieu, se confier en lui-même pour construire son avenir sans Lui, restant irrémédiablement aveugle sur ce qu’il a fait à l’Homme dans le passé et au présent tout en oubliant qu’il n’est que de passage. « Maudit soit l’homme qui se confie en l’Homme » (Jérémie 17 :5). La perte des références morales et sociétales, qui firent la force de nombreux pays et aujourd’hui prônée plus ou moins directement par certains leaders islamo-gauchistes, interpelle au plus haut point. Pour l’Homme, la nécessité de remplacer Jéhovah par un autre dieu, fut-il absent, reste une réalité. Le Baptême républicain n’en constituerait-il pas une preuve ? Une nouvelle voie ne s’ouvrirait-elle pas pour conforter l’athéisme afin d’en faire une religion d’État (?) comme semble l’indiquer Gérald Darmanin (1982-), Ministre de l’intérieur française par son propos du 19 janvier 2021 en établissant « la loi de la République supérieure à la loi de Dieu » ? ; alors que le projet de loi du gouvernement sur le séparatisme est en débat à l’Assemblée nationale ; y avouant une « étonnante ignorance de ce qu’est une religion et de la place de la religion dans son rapport à l’État » comme le souligne Olivier Roy (1949-).

Les Révolutionnaires prédicateurs d’une laïcité de circonstance sans autre dieu d’espérance que l’Homme et qui ont érigé la République et ses travers, non sans une forme de respect d’une liberté de conscience in fine, ne font-ils pas ici pâle figure face à cette déclaration démocratiquement dictatoriale, démocrature voilée oblige ? Ce qui vient en opposition apparente à cette prise de position – plutôt dans ce parallèle – d’une voie à la mondialisation pour la Maison Commune papiste, notre Terre Gaïa, par le biais d’une mondialisation sur base écologique inégalée que le jésuite Jorge Mario Bergoglio, aujourd’hui Pape François (1936-), qui pourrait aider l’Église à se rapprocher des périphéries existentielles de l’humanité qui affronte la violence des scandales de la pédophilie en son sein, nommé Homme de l’année et ‘Leader mondial’, met en exergue et soutient aujourd’hui. D’abord par sa seconde encyclique ‘Laudato si’ du 24 mai 2015, (ou « sur la sauvegarde de la maison commune ») et consacrée aux questions environnementales et sociales, à l’écologie intégrale, et de façon générale à la sauvegarde de la Création en s’orientant vers une mondialisation par l’écologie ; puis à travers son ‘Pacte Éducatif Global’ du 15 octobre 2020.

Il est intéressant, pour ne pas dire significatif de constater que l’actuel Vicaire du Christ n’y fait mention aucune fois, à notre connaissance, du Christ-Jésus (!) Ne doit-on pas également s’étonner sur la toute récente Déclaration ‘Dignitas infinital’ du 04 avril 2024, après la ‘Fiducia supplicans’ du 18 décembre 2023, qui veut quelque part taire la loi morale de Adonaï au profit de la reconnaissance d’un sacré total de l’Homme (ainsi tous les hommes sont égaux, à commencer par les criminels les plus sombres qui se complaisent dans leurs crimes qu’ils peuvent continuer de perpétuer …), parce que créé à l’image de Dieu que l’on dessine ici injuste, en quasi opposition avec l’esprit des 10 commandements ? … Oublierait-on que les devoirs présentent une force supérieure aux droits lorsqu’ils sont respectés, pour les asseoir plus solidement ? Lors d’une cérémonie laïque donnée en grande pompe au Congrès américain, le Pape François militant en faveur de la protection du climat, se sert de la protection de l’environnement pour conduire le monde à prendre sa Marque (dans tous les sens du terme – Apocalypse 13 : 17), à travers l’instauration du néo-sabbat du dimanche (Sunday ou jour du soleil dans le paganisme) qui deviendra prophétiquement parlant aussi incontournable que sanctionnable (ce que l’on commence à voir aux États-Unis d’Amérique avec les lois sur le dimanche …) s’il n’est pas respecté non pas selon les Écritures saintes, mais l’Église de la papauté.

L’Évêque de Rome y a mené la promotion d’un dialogue public politique et laïc à l’échelle mondiale en soulignant que le domaine de la foi et celui de la politique se rejoignent, et que les enseignements moraux et spirituels de la foi informent et guident les décisions politiques concernant notre foyer commun, organisation dont le civil se tiendrait au service du religieux, où le civil le tiendrait en état … L’Écologie – nous devrions écrire la protection de l’Environnement dont on sous-estime de nos jours l’accroissement des mouvements tectoniques et des séismes – d’un but tout-à-fait louable et salutaire, deviendrait-elle un moyen et prendrait-elle un sens nouveau en ce que l’écologiste se déclare en faveur du repos dominical, et ne devienne un observateur du dimanche ? L’Antichrist[4] n’avancerait-il pas, tout comme l’Apocalypse ? « C’est ici la persévérance des saints qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus » ? nous rappelle Apocalypse 14 : 12. Par le biais de l’environnement et de l’écologie ainsi que ses récentes déclarations droit de l’hommistes indiquées supra, la Papauté épouse la ligne mondialiste et le pape s’en reconnaît sinon le leader, tout du moins l’un de ses champions.

Par ses finances, son pouvoir, son lobbyisme de plus en plus anonymisé et ses pressions diverses sur les États et nations, le Nouvel Ordre Mondial a les moyens humains, financiers et techniques pour mener à bien ses stratégies qui permettront à ses tenants d’atteindre l’ensemble de la population mondiale déjà partiellement soumise au culte du droit de l’hommisme, en temps réel et de multiples façons, à commencer par les communications facilités grâce à l’interconnexion des États et de sa population mondiale, informée dans la seconde ; situation qui n’existait pas auparavant.

Notes

[1] Emmanuel Razavi, « la face cachée des Mollahs – Le livre noir de la République islamique d’Iran », Les Éditions Le Cerf, 2024, 225 p.

[2] Raymond H. A. Carter, « L’Afrique : une insécurité entretenue ? », Édition ————— 2024 (en cours de publication).

[3] Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies, « Dieu, La Science, Les Preuves ; l’aube d’une révolution » préface de Robert W. Wilson, Prix Nobel de physique chez Guy Trédaniel éditeur, 2021.

[4] « Il existera un lien universel, une grande harmonie, une confédération de forces sataniques » in Ellen G. White, « Maranatha, le Seigneur vient », Ellen G. White, p. 185.

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