Le rire, un fruit défendu
Dans le monde brutal où nous vivons aujourd’hui, il y a un vestige qui doit devenir le rempart à la soumission : le rire !
Le rire est en effet une arme redoutable. Inversons la tendance voulue par les sociaux-démocrates européens. Si nous ne rions pas, nous courrons à notre perte ! Pourquoi ?
Il est devenu quasi indécent de rire et de se moquer. S’abreuvant au puits de l’histoire du vieux continent, ces politiques totalitaires de gauche contribuent à faire culpabiliser les peuples. C’est encore plus vrai pour le peuple germain qui, portant un lourd tribut « national socialiste », se soumet à l’installation des migrants venus de toute part. Rions de nos voisins qui ne sont pas fiers de leur nation, lui préférant une nation ouverte à ceux qui riront d’eux plus tard.
Fier de son appartenance laïque, « le socialiste », humaniste au grand cœur, jette au lion « le nationaliste » sans cœur, selon lui, qui ne le fait pas rire vu qu’il est extrémiste. Mais ne serait-ce pas l’inverse ?
Rions d’un Valls, capricieux qui se prenant au sérieux, n’a plus rien pour nous soumettre à son autorité de ducasse ou d’un Macron, phénomène spontané de l’épicentre que la gauche habille de toutes pièces dans le costume d’un présidentiable, pendant que Hollande est chez Drucker. Rions vite et de bon cœur car à force de prendre les choses trop sérieusement, nous risquerions de voir s’abattre sur la France, un ovni de gauche venu d’une autre galaxie nous contraindre encore pour 5 ans. Ceci ne nous ferait pas rire du tout !
Luttons avec le rire, moquons-nous de ces sans-culottes au bonnet phrygien rouge. Ceux-là mêmes qui disaient lors d’une pétition portée à la Convention du 25 juin 1793 : « Il ne faut pas craindre d’encourir la haine des riches, c’est-à-dire des méchants ; il faut tout sacrifier au bonheur du peuple ». Face à ce populisme rouge, opposons le populisme blanc. Rions encore de plus belle !
Le rire est somme toute quelque chose de génial, mais pratiqué par les défenseurs des valeurs de notre pays et d’une Europe chrétienne, il deviendra homérique, plus fort que celui des dieux qui se prétendent tout-puissants derrière leurs pupitres de députés européens sociaux-démocrates. Devant tant de sérieux, mangeons ce fruit défendu avant qu’il ne soit interdit aussi.
Soyons hilares ! Relisez le livre ou revoyez le film Le nom de la rose où le rire qui menaçait l’autorité était interdit.
Sangsues bruxelloises, tremblez !
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