Le nouveau mal ou mâle français
Alors que les menaces qui pèsent sur la France sont déjà légion, le pire est à venir.
Le chômage ronge nos ménages, les migrants sont entrés dans Paris, l’air des grandes villes est irrespirable, le racisme couve dans les consciences, le prix de l’électricité angoisse les familles, le nouveau porte-parole du gouvernement inquiète les magazines de mode, l’Europe impose la superficie des WC dans les constructions neuves. Brefs les sujets anxiogènes foisonnent et pourrissent notre printemps.
Mais il y a une autre menace, indicible et grandissante qui telle la métastase sournoise s’invite dans nos cités, n’épargnant aucune génération.
Le Parisien nous informe ce matin, qu’un vieil homme a été renversé et grièvement blessé par une trottinette à Levallois-Perret ! Le Parisien nous indique également que, selon les chiffres de la sécurité routière le nombre de blessés ou décès par trottinette a augmenté de 23 % entre 2016 et 2017 ! Mais pour Monsieur Cyclopède ce n’est pas mieux, on note une augmentation de 22 % de victimes à vélo depuis 2010.
Chers lecteurs, des mesures s’imposent et d’urgence, l’excellent gouvernement l’a bien senti. Observons si vous le voulez scientifiquement la situation. Le nombre de deux roues explose et si l’homo sapiens surpeuple la planète, la trottinette va surpeupler nos villes. Outre que cette dernière, si elle donne une allure peu virile voire infantile à mon sens à son utilisateur, représente bien l’objet de la menace imminente qui pèse sur nos trottoirs. En effet, comment interdire le trottoir à la trottinette ?
Encore une fois, c’est de la science que nous vient la lumière. Les roues des deux roues sont mal placées. Situées l’une devant l’autre, ces roues rendent l’engin instable sans la vitesse, cela relève donc de l’hérésie que d’insister dans cette logique criminelle. D’autre part, le prix des carburants va rendre inutilisable pour la majorité des citoyens le bon vieux quatre temps.
Aussi, dans le but de restaurer la sécurité dans nos rues, il convient de positionner les deux roues du deux-roues sur un même et seul axe. Il faut promotionner le pousse-pousse ! De cette façon, le taux de chômage sera réduit, les Français pourront souffler un peu le temps du voyage, et les exigences de la mondialisation satisfaites.
Étonnant non ?
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99