Le jour d’après…
« Croyez-vous que nous aurons la guerre ? »
La célèbre phrase que les Français se répétaient après Munich en 1938 revient en mémoire dans les temps de crise mondiale que nous vivons.Les grandes catastrophes, les dérèglements ou déstabilisations économiques majeurs, ont presque toujours provoqué dans l’Histoire des tensions ou des guerres, civiles ou internationales. Les instincts de survie ou de vengeance, ou encore les faiblesses avérées et révélées par les crises, des uns ou des autres, amènent à profiter de ces situations gravement dégradées pour certaines puissances ou États. L’ONU a d’ailleurs placé le « système économique et son équilibre » dans les trois priorités de la paix du monde.
De plus en plus, la Chine est mise en cause pour ses mensonges, ses dissimulations – pires encore que ceux de nos propres dirigeants – peu à peu mis à jour, dans l’origine et la première gestion de la pandémie en germe. Dissimulations qui ont eu des conséquences graves mettant en jeu les grands équilibres du monde et un système économique qui menace de faire basculer le monde dans de nouveaux affrontements. De là à s’interroger sur le caractère véritablement accidentel et fortuit de cette pandémie d’origine chinoise…
Les derniers chiffres supposés sur la province de Wuhan laissent à penser qu’il y aurait eu plus de 50 000 morts au lieu des 3 200 annoncés par le gouvernement chinois. Pour la Chine c’est une goutte d’eau dans la mer, mais les chiffres donnent une idée du potentiel ravageur d’un tel virus.
À une période où les USA se heurtent de plus en plus à une Chine expansionniste et menaçante pour sa suprématie, où les tensions liées aux foyers de guerres et de terrorisme sont toujours inquiétantes et dans une précarité de forces parfois alarmante, les bouleversements nés de la crise sanitaire et de ses conséquences économiques notamment, peuvent susciter des réactions inattendues.
La situation est, et sera encore plus dans quelques semaines ou mois, propice à des décisions brutales quant à la protection des équilibres actuels et aux risques de retours à des affrontements traditionnels pour la conservation, pour les uns, ou l’acquisition pour d’autres, de positions dominantes.
Les grands échanges mondiaux et l’interpénétration – et abandon de souverainetés – des économies due à la mondialisation programmée et voulue montrent la grande précarité et la fragilité des États et des peuples qui leur sont soumis. Et on voit mal comment les dirigeants politiques actuels pourraient renoncer à leurs convictions mondialistes, et à leur servitude volontaire aux grandes puissances financières, fussent-elles en difficulté.
D’ailleurs, nos économistes officiels qui inondent les plateaux de télévision affirment péremptoirement comme une évidence biblique que modifier le système économique mondial est totalement impossible, illusoire, utopique et bon pour les faibles d’esprit. Dieu nous préserve des « experts » de tout poil qui ont toujours mené les peuples à la catastrophe !
Dans ce contexte d’incertitude qui entoure le monde, la question d’une réaction militaire à une situation critique, est bel et bien posée. Pourtant elle ne se pose pas encore, tant les préoccupations sanitaires et économiques de premier degré sont actuellement prioritaires.
Cette question, encore hors du temps, doit tout de même effleurer la réflexion des principaux dirigeants de la planète qui devraient déjà se mettre en alerte, et anticiper pour une fois, un risque de troubles, voire de guerre, entre les leaders du monde. Sans compter même les nouvelles velléités de nombre d’États – ou de quasi-États – des Proche et Moyen Orient notamment, qui pourraient faire rebattre les cartes dans plusieurs régions poudrières.
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