Comment se croire capable de transformer l’essence même de l’Homme…
Il est vrai, j’ose l’avouer, chez Hugo je n’ai jamais aimé l’homme. Pourquoi ? Je doute plus que jamais de son honnêteté intellectuelle et de la pertinence de la plupart de ses sentences. Ainsi lorsqu’il affirme que le Progrès est « la marche du mal au bien, de l’injuste au juste, du faux au vrai, de la nuit au jour… », je crois être en droit de penser […]
Lire la suite