Étiquette : islamo-pétrodollar

12 septembre 2019

De Panurge au Sheeple : l’espoir d’une Renaissance occidentale ?

Bernard Plouvier Au début de notre nouvelle ère globalo-mondialiste, des résistants nord-américains ont forgé un néologisme, celui de Sheeple : le peuple de moutons, asservi à la désinformation des chaînes télévisées et devenus dépendants de la nouvelle drogue, les réseaux sociaux. De fait (photo ci-dessus), une majorité d’adolescent(e)s luttent contre leur angoisse existentielle en étant rivé(e)s, vissé(e)s, « scotché(e)s » à leur tablette Net ou à leur téléphone-microordinateur portable. […]

Partager :
15 juillet 2019

Mysticisme et réalisme : les deux voies du discours populiste

Grand Président Macron poursuit sa destruction à rythme accéléré des valeurs nationales, celles qui forment notre identité de Français, par opposition à la bouillie mondialiste et au pot-pourri multiracial (en anglais : le melting-pot, variante sociologique du Chaudron des sorcières).

Partager :
7 mai 2019

Le nouveau vandalisme religieux supra-sélectif

C’est bien connu : depuis la Loi de 1905 instaurant la séparation des Églises et de l’État, nos princes – le Président de la République, son Premier ministre et le titulaire de l’Intérieur et des Cultes – sont rigoureusement impartiaux dans leur attitude envers les religions, leurs clergés et leurs fidèles.

Partager :
30 novembre 2018

Le récent saccage de Paris ou le cynisme de nos princes

Qu’Emmanuel Macron soit le Président des riches et l’homme lige de l’économie globale, c’est une évidence pour tout le monde. Ce l’était, d’ailleurs, pour une faible majorité de Français dès l’élection présidentielle. Hélas ! Les très nombreux abstentionnistes ont fait élire l’homme du grand capital, se rendant complices d’un acte imbécile.

Partager :
12 octobre 2016

L’implantation en cours de l’État islamo-africain

Depuis la plus haute Antiquité, la colonisation d’une terre par un peuple fut toujours marquée par un avantage civilisationnel, même si, initialement, il fallait (pas toujours d’ailleurs) se débarrasser des opposants au progrès, des vieux débris d’une société totalement dépassée.

Partager :