Que Madame Le Pen arrive, comme son père avant elle, au 2e tour d’une Présidentielle, voilà qui conforte toutes celles et tous ceux, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste – inaugurée en 1976, pour le cas français, par la loi Giscard-Chirac de regroupement familial des immigrés –, qui souhaitent un retour de la France aux Français, au sein d’une Europe n’appartenant qu’aux Européens de souche.
Les dés en sont jetés et Mignon-Macron triomphe sur toute la ligne. La première place du podium lui revient, accompagnée d’une foule de désistements. Tous les féaux lécheurs de bottes du grand capital se précipitent pour lui apporter aide et soutien : la droite affairiste comme la gauche caviar, en attendant le millionnaire en euros qui a joué au stalinien de banlieue.