Le tsunami de haine qui a accompagné la campagne électorale du candidat Donald Trump et sans doute atteint son point culminant le jour de sa prestation de serment comme 45e Président des USA, aura empêché tout bilan sociétal sur les huit années passées par son prédécesseur à la Maison Banche.
Ah ! Si les attentats qui ensanglantent l’Europe depuis des mois étaient le fait d’énergumènes estampillés « nazis », « fascistes », voire – faute de grives, n’est-ce pas ! –, juste « droite dite extrême », que la vie du monde politique et médiatique serait simple ; un long fleuve tranquille de morale citoyenne que tous ces braves gens censés nous gouverner et nous informer rabâchent si complaisamment ! Pour eux, le discours antifasciste […]