Avons-nous fait le tour de la question des « fake news » ? Vous aurez noté sur les réseaux sociaux, puisqu’ils sont devenus la source d’information majeure, que si vous lisez un article dont la source n’est pas dans le politiquement correct, celui est suivi d’un article dénommé publication connexe pour vous avertir du danger que vous courrez : l’information que vous lisez n’est pas fiable.
Le 5 février 2018, rapporte Associated Press, une adolescente succombait à une overdose. Pendant ce temps, son dealer la violait et prenait des photos qu’il envoyait à ses amis tout en commentant… « she died having sex with me, lol ». La traduction ne s’impose pas. Pourtant, ce fait divers aurait tout aussi bien pu se dérouler en France qu’aux États-Unis.
Le 31 janvier 2018, Jean Lassalle interrogeait le Premier ministre à l’Assemblée Nationale sur la question de la gestion française de « l’après-Bouteflika » en Algérie. Il semble, selon le député des Pyrénées Atlantiques, qu’un accord veuille que le pouvoir revienne à l’armée. Or, celle-ci serait largement infiltrée par les Islamistes. Cette mutation importante du pouvoir algérien pourrait engendrer une migration intense de population vers la France.
Je n’y croyais pas. C’était une blague. Par mimétisme au politiquement correct, j’ai pris l’habitude de nommer le grand informel homosexuel et apparentés : « Monsieur-Madame ». Quand j’ai entendu que le représentant de la France au concours Eurovision 2018 s’appelait Madame Monsieur, j’ai, un instant, cru à une « private joke », une sorte de caméra-cachée qui se jouait de moi.
L’antiracisme est la valeur refuge pour faciliter le processus de migration de millions d’étrangers vers l’Europe. Si l’islamisation est le vecteur principal de l’immigration, comme je le démontre dans l’ouvrage Géopolitique de la conspiration contre les peuples, c’est parce que le fédérateur premier de l’Islam est l’Universalisme et donc naturellement l’antiracisme.