1er mai : les raisins de la colère
L’idéologie macronienne provoque, sciemment, un climat de tension permanente pour s’imposer durablement dans l’esprit des électeurs (appelés à être de plus en plus minoritaires). Comme cela était attendu par les services de police, la Fête du travail a livré son déchaînement de violences ; un 1er mai qui s’est déroulé après une longue série de samedis « consacrés », au niveau médiatique, à l’émeute urbaine (cliquez ici).
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