6 août 2019

Touristes « exotiques » en mal de rapines

Par Philippe Randa

C’est l’été : les vacances pour beaucoup, mais pas pour deux malandrins nord-Africains, curieux de connaître la Suisse, ses fromages, ses coffres plus tellement secrets et surtout… ses touristes !

Les deux touristes exotiques pourront sans doute compter sur l’aide d’associations anti-racistes…

Les deux touristes exotiques pourront sans doute compter sur l’aide d’associations anti-racistes…

Car le « vivre ensemble », pour eux, c’est aussi et surtout, le « voler là-bas » et sans distinction de races ou de religions car leurs victimes sont natifs de tous les continents : argentins, indiens, luxembourgeois ou russes. C’est sûr, les deux compères s’intéressaient moins à leurs origines qu’à leurs portefeuilles et bagages bien remplis.

« Lundi matin, plusieurs mois après les faits, deux Nord-Africains trentenaires comparaissaient l’un après l’autre au Tribunal de police. Arrêtés tous deux à Annemasse, où ils séjournaient, ils assurent s’être retrouvés dans le même hôtel par hasard […] », nous rapporte le toujours bien informé site de la réinformation helvétique LesObservateurs.ch.

Mais c’est La Tribune de Genève qui enfonce le clou en citant l’un des prévenus qui venait à Genève « pour se promener et commettre des vols »… Reconnaissons à ce monsieur une benoîte franchise assez rare en la circonstance.

C’est sans doute pour cela que le Tribunal de police s’est montré particulièrement clément, leur infligeant de simples « peines privatives de liberté de 7 et 12 mois avec sursis », ce qui a permis aux deux touristes en mal de rapines de recouvrer une liberté que n’est venu assombrir aucun remboursement éventuel des victimes : pourquoi donc ?

Quant à une éventuelle expulsion, gageons qu’il n’en sera que modérément question et assurément moins encore d’un début de commencement d’exécution : les deux touristes exotiques  pourront sans doute compter sur l’aide d’associations anti-racistes qui fleurissent tout autant au pays de Guillaume Tell qu’en celui de Jeanne d’Arc.

Pour la majorité des gens, en été, c’est leur lieu de travail qui ferme ; pour d’autres, c’est juste leur travail qui se déplace…

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