La théorie du genre adoptée
Il y a de cela quelques années à peine, la théorie du genre faisait partie de ce que l’establishment qualifiait de théorie du complot. Ceux qui osaient dénoncer la théorie du genre se voyaient traiter d’extrémistes de droite, de complotistes et autres termes sidérants visant à les faire taire et à les marginaliser. Mais, force est de constater qu’il ne s’agissait pas d’une lubie : la théorie du genre est désormais implantée dans les écoles, du moins au Québec, et une nouvelle étape vient d’être franchie puisque la Société canadienne de pédiatrie a annoncé y adhérer officiellement.
Dans un document rendu public le 9 mai, l’association médicale stipule que « L’identité de genre désigne la perception qu’une personne a d’elle-même. Le terme “genre” correspond à l’anglais “gender” et est aujourd’hui complètement accepté. Auparavant, le terme “sexe” désignait à la fois la réalité physique et l’identité d’une personne. Il est important de savoir que l’identité de genre se situe sur un continuum. Une personne peut donc être masculine, féminine, “ni l’un ni l’autre”, “les deux à la fois” ou se situer quelque part entre les deux ».
Fait intéressant, ce document a été « préparé avec les conseils de l’Association Canadienne des professionnels en santé des personnes transsexuelles et d’Enfants transgenres Canada », deux organismes ayant des intérêts évidents à la reconnaissance de la théorie du genre.
On apprend dans ce document que dès l’âge de 2 ou 3 ans, les enfants « peuvent s’identifier comme “garçons” ou “filles”, mais ce terme ne correspond pas nécessairement au genre attribué à la naissance ». Mieux, les enfants « peuvent alterner entre l’identité de “garçon” ou de “fille”, ou même s’attribuer d’autres identités de genre à divers moments (parfois même dans une seule journée). Ceci est normal et sain ».
C’est si normal et c’est si sain que ces enfants sont mis sur un piédestal et on en parle comme étant des « enfants créatifs dans leur genre ». Ceux qui se contentent d’être ce que la nature a fait d’eux seraient donc, pour suivre cette logique, des enfants manquant de créativité.
En lien à la fin du document, les pédiatres canadiens font réfèrence au site d’Enfants transgenres, un organisme qui a récemment lancé un jouet transgenre avec l’appui financier du gouvernement du Québec. Ce jouet, qualifié de premier jouet transgenre au monde, est une poupée russe montrant la transformation de la petite Sam en Sam, le garçon adolescent. Chaque poupée dévoile une phase de cette transformation. L’organisme aimerait voir les enseignants employer ce jouet en classe.
En lisant les objectifs derrière la création de ce jouet, il y a de quoi rester pantois : « Afin d’avoir un grand impact avec des répercussions à long terme, nous devions trouver un moyen d’engager les personnes qui façonneront les normes culturelles du futur : les enfants ».
Bref, on ne s’en cache pas, l’objectif est de passer au-dessus des parents pour rallier les enfants, le public vulnérable par excellence ! L’ingénierie sociale atteint un niveau de bassesse rarement égalé et tout ça à visage découvert !
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