14 juillet 2023

Récompenser l’illégalité alimente le modèle économique des trafiquants d’êtres humains

Par article conseillé par EuroLibertés

Il y a quelques semaines, un bateau de migrants a chaviré en mer Méditerranée, à environ 85 km des côtes de la péninsule Grecque du Péloponnèse. Selon les médias grecs, il y avait 700 à 750 migrants à bord. Peu de corps ont été retrouvés. C’est une tragédie qui aurait pu être évitée. Avec sa politique actuelle, l’Union européenne encourage presque les migrants à risquer leurs vies pour accoster sur les côtes de l’Europe. Rappelons tout de même cette évidence: la migration illégale met des vies en danger, celles des migrants et celles des Européens.

Lorsque nous supprimons l’incitation à la migration illégale, nous brisons le modèle économique des passeurs. Il faut donc envoyer un signal clair selon lequel la migration illégale ne paie pas afin que ces personnes n’aient plus aucune raison de tenter cette traversée mortelle. Cette politique d’asile et de migration défaillante est directement à l’origine de ces voyages périlleux et donc bien entendu de ces tragédies.

Toutes les personnes secourues sont de jeunes hommes dans la vingtaine, originaires pour la plupart de Syrie et d’Égypte, mais il y a aussi des cas d’Afghans, de Pakistanais et des Palestiniens. Les passeurs gagnent beaucoup d’argent en persuadant les migrants de faire la traversée. Selon Europol, 90 % des migrants ont payé des passeurs. Les ONG dites humanitaires sont en réalité complices de ces passeurs, très probablement par naïveté, ou par pure bêtise et plus probablement encore par naïveté et par bêtise. Il y a aussi des calculateurs qui voient en ces pauvres gens un nouveau prolétariat qui les aideront à faire leur révolution marxiste et qui les encouragent et les aident donc par pur calcul idéologique. La réalité crue est donc que les passeurs et les ONG sont des organisations criminelles et elles doivent être traitées comme telles.

D’une façon généralisée et sans exception, l’accueil des demandeurs d’asile doit se faire dans leur propre région du monde. Nous devons fermer hermétiquement nos frontières extérieures et les immigrés illégaux doivent perdre tout droit de séjour. Il faut les traquer et les renvoyer sans pitié chez eux, dans leur pays d’origine. Ce n’est que de cette façon que nous pourrons protéger notre peuple et briser définitivement le modèle commercial du trafic des êtres humains.

Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.

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