Malheur au salaud
Michel Lelièvre, ancien complice du criminel pédophile Marc Dutroux, a été libéré fin décembre 2019 après 23 ans de détention. Ses premiers jours de liberté retrouvée n’ont guère été de tout repos : reconnu, il fut passé à tabac, tandis que son studio était saccagé : sa réinsertion commençait donc rudement pour celui qui fut considéré comme l’« homme à tout faire » d’un des pires criminels d’outre-Quiévrain.
Et en ces premiers jours de 2020, c’est carrément une chasse à l’homme qui est lancée contre lui sur les réseaux sociaux par un « groupe secret » dont le compte a été rapidement fermé.
« Notre justice étant incapable de protéger ses citoyens, c’est donc à la population d’assurer sa propre sécurité », expliquent les vengeurs des deux adolescentes, An et Eefje, enlevées et tuées par Dutroux et Lelièvre en 1995 sur la côte belge, ainsi que de Laetitia et Sabine, retrouvées emmurées – mais vivantes – dans une maison de Marcinelle (commune de Charleroi) l’année suivante.
Certes, Michel Lelièvre bénéficie désormais de la protection de la loi, comme tout autre citoyen, mais jusqu’où sera-t-elle suffisante pour le mettre à l’abri de cette mise hors-la-loi citoyenne ?
Rappelons que cette dernière, sous forme de bannissement, était coutumière chez les Vikings qui n’appliquaient que très accessoirement la peine de mort, préférant en général les peines d’amendes (parfois colossales), voire de mise en esclavage (le condamné perdait tous ses droits d’homme libre et devait suivre un maître, mais restait cependant rattaché au clan).
Comme dans les vieux pots, on fait les meilleures soupes, certains s’inspirent donc d’une très ancienne coutume pour appliquer une meilleure justice.
L’expression « malheur aux vaincus » prononcée par le chef gaulois Brennus après sa victoire sur les Romains vers 390 avant JC est passée dans le langage courant ; celle de « malheur au salaud » connaîtra-t-elle semblable succès ?
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