Les femmes ont toujours raison… plus encore désormais !

On connaissait jusqu’alors quelques terreurs en jupon outre-Atlantique, telle Calamy Jane, personnalité de la conquête de l’Ouest au XIXe siècle à laquelle la légende attribut un rôle non négligeable lors des guerres indiennes… ou encore Bonnie Parker qui défraya avec son compagnon Clyde Barrow la chronique criminelle dans l’entre-deux-guerre.

Qu’elle soit guerrière ou criminelle, le maniement des armes n’a jamais posé de soucis particuliers à un sexe pas si faible que cela.

On ne sera donc pas plus surpris que cela d’apprendre, grâce au site lopinion.fr, que « les ventes d’armes à feu ont bondi outre-Atlantique pendant la pandémie de Covid-19 » et qu’« aux États-Unis, près d’un acheteur d’arme à feu sur deux est une femme » : « Selon les chercheurs, environ 3,5 millions de femmes se sont offert une arme à feu entre janvier 2019 et avril 2021, contre 4 millions d’hommes, alors que, depuis des décennies, elles ne représentent que 10 % à 20 % des propriétaires d’armes à feu (…) Chercheurs et vendeurs attribuent cette envolée aux angoisses provoquées par la pandémie de Covid-19, aux manifestations qui ont suivi l’assassinat de George Floyd et ont parfois été accompagnées de violences, ainsi qu’aux tensions qui sont nées au moment de l’élection présidentielle de 2020. »

« Femme, je vous aime », chantait naguère Julien Clerc, qui « n’en connaissait pas de faciles (…) pas de fragiles… ». Autre temps, autres mœurs… Qui chantera bientôt « femme, je vous crains » ? Et plus seulement pour risquer d’être dénoncé comme horrible patriarche, odieux macho, ignoble satyre ou infâme harceleur sur les réseaux de délation façon #metoo, mais de peur désormais, de s’en prendre une – voire plusieurs – dans le buffet…

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