Foot : le miracle islandais
par Claude Lorne
Commentant le match qui s’était déroulé la veille au Parc des Princes, Le Figaro s’extasiait le 10 septembre : « Après avoir battu l’Ukraine vendredi, les Bleus ont renversé l’Islande (2-1) mardi… Dans cette petite poule de quatre équipes, ils ont déjà fait un grand pas vers la Coupe du monde 2026. »
Renversé, c’est beaucoup dire puisqu’ils n’ont gagné que de 2 buts à 1, leurs adversaires leur ayant donné bien du fil à retordre.
Mystère : forte de 68,373 millions d’habitants recensés en 2024, la France n’a pu aligner qu’une équipe entièrement composée d’Africains à l’exception du binational franco-espagnol Théo Hernandez. L’Islande, qui ne compte que 383 726 habitants, n’avait fait appel en revanche qu’à des Islandais de souche, purs Vikings dont les patronymes semblent sortis d’une saga, et qu’on énumèrera pour le plaisir : Gudmunsson, Haldorsson, Arnason, Sigurdsson, Sigurdsson-bis, Gunnarson, Bodvarsson, Sigthorsson, Skulason, Bjarnasson et Gudjonsen.
Dès lors, de deux choses l’une : ou les Islandais sont des supermen, ou les jeunes Français, au contraire de leurs grands aînés, boudent le ballon rond. Soit parce que leur famille répugne à les laisser fréquenter des clubs trop souvent investis par la racaille. Soit parce que des directives viennent de haut lieu pour privilégier, au nom de la sacro-sainte inclusion, les petits prodiges mélanodermes. En fait, c’est l’un ET l’autre.
Il est permis en tout cas de regretter le temps, pas si lointain, où le Guadeloupéen Marius Trésor faisait figure d’exception dans l’équipe de France et même à l’Olympique de Marseille. L’arrivée de Zineddine Zidane comme sélectionneur en remplacement de Didier Deschamps changera-t-elle la donne, fût-cette fois en faveur des Maghrébins récemment encore hégémoniques chez les soi-disant Bleus, ou la situation s’aggravera-t-elle encore ?
Article paru sur le site du Nouveau Présent.
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