6 septembre 2017

Le commerce du sang, nouveau trafic d’exploitation

Par admin

Nous en sommes à cette phase historique ou, pour la première fois, l’avancée de nos sciences prouve l’Être. On avait conçu, avec Einstein la « Matière-Énergie », mais une formule plus accessible eut été : « L’apparence matérielle de l’énergie ». Et l’on peut certes comprendre qu’après deux siècles de scientisme matérialiste, certains comme Jean Rostand, ne puissent comprendre que l’énergie est forcément divine, d’autant plus qu’ils souffrent de leur incroyance : Ainsi Rostand pouvait écrire à Gustave Thibon : « Vous avez de la chance, vous les chrétiens : Vous dites « je crois » et vous n’y pensez plus ! Et moi je ne crois pas et j’y pense tout le temps ! »

Sans la certitude de l’énergie-force-divine, on ne peut rien concevoir. Certes, un croyant de mon espèce ne comprend pas non plus l’utilité qu’aurait de nous cette énergie divine, mais du moins sait-il qu’il est pris en charge par elle. Il lui suffit d’accepter.

trafic de sang

On vient de rendre public cette semaine, une des horreurs qui découlent du laïcisme politique. Soit un nouveau trafic d’exploitation : le commerce du sang. Des adolescents de quartiers défavorisés vendent leur sang à des entreprises commerciales, afin qu’en soient abreuvés quelques vieillards qui tentent ainsi de prolonger leur existence d’exploitation. La loi de l’offre et de la demande va jusque-là. Mais ce n’est que la suite de ce que l’on savait déjà du trafic d’organes : il y a plus de 20 ans que l’on a pu dénoncer le fait que des enfants étaient razziés dans les bas quartiers des pueblos d’Amérique du Sud, et qu’on les retrouvait parfois amputés d’un organe pouvant être transplanté !

Et qui pouvait se payer ces monstrueuses pratiques, sinon cette classe argentée que David Rockefeller à nommée : « L’Élite » ? Bien sûr, la légalisation du meurtre prénatal dans nos démocraties avait fait sauter les derniers verrous de la décence : quantité de femmes des pays de l’Est acceptèrent l’avortement rétribué afin de livrer leurs avortons au commerce occidental de produits féminins de beauté et des « crèmes revitalisantes ».

On s’indignait de ce qu’autrefois, au cours des messes noires, on ritualisait l’égorgement d’un nourrisson, pour obtenir gloire et pouvoir des puissances de l’ombre, mais l’industrie laïciste aujourd’hui, n’est-elle pas en train d’en étendre les pratiques ?

Les Juifs jadis, Adolf Hitler et le Ku-Klux-Klan se sont trouvés des ennemis de race. Staline, Mao et Kim-Jong se sont trouvé des ennemis de caste. Les Islamistes découvrent les ennemis d’Allah… Mais le capitalisme laïciste à lui pour ennemis tous ceux qui s’opposent à ses crimes, lesquels, pour être passés sous silence par les médias, n’en sont pas moins aussi immondes que ceux des autres catégories.

Étant donné l’évolution des sciences, je ne sais pas du tout ce que sera l’aspect de la société après la destruction obligée du laïcisme criminel. Mais je sais cette destruction obligée. Je sais que nous sommes en état de nécessité. Et je sais que face à un peuple bêtifié par le rituel imbécile des marches de protestation, des cœurs énamourés en carton, et des roses jetées sur le bitume, nous sommes le petit nombre, mais que cela ne doit pas entamer le devoir de rester ce que nous sommes.

Quand je fus enfermé quelques mois par les gaullistes pour n’avoir pu supporter en silence le dépeçage des harkis, j’avais inscrit en rouge sur le mur de ma cellule cette phrase de Louis Barthou : « Il y a une chose pire que la guerre : c’est la peur de la guerre ! Et il y a une chose pire que la peur de la guerre : c’est la défaite. »

J’ajouterais que ce qui est encore pire, c’est la défaite sans combattre.

Mais cela ne nous ressemble pas !

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Philippe Randa,
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