Bis repetita pour L’Aquarius et le trafic d’êtres humains !
L’Aquarius, vous vous souvenez ? Ce navire avait déclenché une crise au sein de l’Union européenne en se rendant complice de l’invasion migratoire ; affrétée par SOS Méditerranée que ne gêne visiblement pas de se compromettre ainsi avec le plus ignoble (et le plus juteux) des trafics qui soit – celui des êtres humains –, L’Aquarius n’avait pu livrer sa cargaison de miséreux en Italie : l’énergique Ministre de l’intérieur, Matteo Salvini, s’y étant fermement opposé, ce qui lui vaut depuis autant la haine des institutions européennes qu’un formidable soutien des Italiens (de 17 % aux dernières élections, les sondages prédisent désormais la Lega qu’il dirige à près de 30 % des intentions de vote)… L’Espagne dirigée par le socialiste Pedro Sánchez (sans être majoritaire au Cortès) les ayant alors accueillis au grand dam des populations locales.
Le scandale de L’Aquarius n’était pas terminé : il commençait seulement !
À nouveau – et cette fois avec la complicité de Médecins sans Frontières (MSF) – il est à nouveau demandeur d’un port d’accueil européen pour 141 nouveaux pseudo-réfugiés livrés par les trafiquants au large des côtes libyennes.
Une Lybie qui se « ponce-pilate » du problème : le Centre conjoint de coordination des secours (JRCC) libyen a bien confirmé être l’autorité en charge de la coordination des sauvetages, mais « n’indiquera pas au navire de lieu sûr de débarquement. »
Tandis que Nick Romaniuk, coordinateur des secours pour SOS Méditerranée, confirme que L’Aquarius suivra « les dernières instructions du JRCC (et) contactera d’autres RCC (Centres de coordination de sauvetage) afin qu’un lieu sûr (lui) soit désigné pour débarquer les 141 rescapés », son complice Aloys Vimard, coordonnateur de MSF à bord du navire, précise : « Les gouvernements européens ont concentré tous leurs efforts à la création d’un JRCC en Libye, mais les événements de vendredi illustrent bien l’incapacité de ce dernier à coordonner intégralement une opération. »
Illustration, si besoin est, que les Africains entendent bien laisser aux seuls Européens le soin de gérer leurs trafics mafieux : pourquoi se gêner !
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