16 mai 2021

Quand le cannabis fait rire… jaune !

Par Philippe Randa

Alors que les affrontements entre la pègre de banlieues et la police enflamment au figuré et, hélas ! au propre, l’actualité criminelle et judiciaire française, certains ont une idée qu’elle est bonne, d’autant plus que ne datant pas d’aujourd’hui, elle n’en est que plus faisandée : légaliser le cannabis ferait baisser le trafic illégal !

Si cela devient légal, forcément, il ne s’agira plus de trafic, simplement d’un « Business » comme un autre (ou presque).

Mais ce raisonnement qui enchante tant les naïfs, bisounours ou autres écolo-gauchistes invétérés se fracasse en effet contre une terrible réalité, celles des faits , comme Othman Nasrou, premier vice-président de la région Île-de-France, n’a pas manqué de le faire remarquer : « La légalisation du cannabis ne cassera pas les trafics. C’est une chimère de croire cela. »

Pour preuve, au Canada, depuis 2018, le cannabis étant désormais parfaitement légal « pour usage récréatif », le site France info nous apprend que «  les prix dans les magasins licites ont baissé depuis la légalisation : ils sont désormais très compétitifs. Mais le marché noir n’a pas disparu. Les autorités de l’Ontario affirment que la vente de cannabis illégale reste rentable pour les vendeurs, qui profitent du manque de magasins gérés par l’État. La consommation, quant à elle, a légèrement augmenté. Selon un sondage, 20 % des 15 ans et plus affirment avoir fumé dans les trois derniers mois. Ils étaient 14 % avant la légalisation. »

Le cannabis, le shit, l’herbe, le « hackik » (comme disait Coluche), la beuh n’aura jamais autant mérité son autre surnom de « cigarette qui fait rigoler »…

Rire, oui… mais jaune !

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