22 août 2021

Merci Macron !

Par Patrick Parment

Cette pandémie a engendré une énorme cacophonie non seulement scientifique mais également sociale. Au plan scientifique, on a lu et entendu tout et n’importe quoi de la part de nos « éclairées » autorités qui, c’est le moins qu’on puisse dire, pédalent dans la semoule. On a sanctionné des médecins de bonne volonté, sans qu’ils puissent se défendre, parce qu’ils exploraient d’autres voies que celle des vaccins. Le professeur Didier Raoult n’est qu’un exemple parmi d’autres. Un récent rapport américain, nous informe le site Polemia, montre que les stratégies différentes entre l’Etat de Californie et la Floride, le premier en limitant les libertés, l’autre non, arrivaient in fine aux mêmes résultats quant au nombre de contaminés et de décès. En France, c’est peu dire que l’on a entendu tout et son contraire, notamment de la part du gouvernement et des « autorités » médicales. Il suffit de regarder les toubibs qui défilent sur les plateaux de télé pour s’en convaincre. Utilisant la peur, Macron a imposé la vaccination et instauré un passe sanitaire au mépris du libre arbitre de chacun et approfondissant d’autant une fracture sociale déjà présente.

Le plus extraordinaire ou surréaliste en date, c’est une note envoyée récemment par la Direction générale de la Santé à tous les médecins et signé de l’inénarrable professeur Jérôme Salomon (descendant de Dreyfus et qui avait déclaré naguère qu’il avait un compte à régler avec la France) et d’un obscur Bernard Celli, responsable de la « Task Force vaccination » (quesako ?) leur communiquant que le vaccin ne se contente pas d’immuniser contre le virus – ce qui reste à démontrer – mais surtout qu’il soigne la maladie, notamment des gens atteints de « covid long » (y en a un court ?). Autrement dit, le vaccin ne serait rien moins qu’un médicament ! J’avoue qu’il fallait oser ! Au jour d’aujourd’hui, on ne sait toujours pas sur quel pied danser. Disons que se faire vacciner pourrait constituer un moindre mal mais ne met nullement à l’abri des dommages collatéraux, très nombreux, peu mortels, certes mais souvent incapacitants.  Alors efficace le vaccin ? On n’en sait rien.

Reste que l’autre dégât des mesures autoritaires prises manu militari par Emmanuel Macron, sans aucune concertation et au mépris des règles démocratiques, ce sont les fractures sociales que cela a engendré non seulement au sein de la société mais aussi des familles. Pour qu’un quotidien comme Libération – placard publicitaire de la bien-pensance – se penche sur le sujet, c’est bien parce qu’il est devenu Un sujet. Et pas des moindres. J’en ai d’ailleurs quelques exemples dans mon entourage. Alexandra Schwartzbrod dans son édito écrit que « la vaccination a hystérisé les relations intrafamiliales ou sociales ». On assiste en effet à des fractures au sein des familles entre les pour et les contre la vaccination réduisant à néant tout dialogue serein. Et surtout brisant d’un coup des complicités établies de longue date. Inutile de dire qu’il faudra du temps pour que cicatrise ces plaies sociales dont on ne mesure pas encore tous les effets. Et de ce point de vue, Emmanuel Macron est un irresponsable et les Français ces « veaux » dont parlait De Gaulle, pour s’être laissés entraîner dans cette aventure. Chacun sait que le point de rupture s’appelle Révolution. Chaque samedi, les « révolutionnaires », pour l’instant simple contestataires, sont dans rue. Mais demain ?

Article paru sur le site Synthèse nationale.

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