Covid-19, le bilan en 40 questions, entretien avec Jean-Loup Izambert et Claude Janvier

Entretien avec Jean-Loup Izambert et Claude Janvier, auteurs de Covid-19, le bilan en 40 questions, IS Édition.

Jean-Loup Izambert a derrière lui cinquante années de journalisme dont trente comme journaliste d’investigation indépendant (économie, finance, politique). Il est également collaborateur de médias étrangers et écrivain.

Plusieurs de ses ouvrages ont défrayé la chronique : Le krach des 40 banques, Le Crédit Agricole hors la loi ?, Faut-il brûler l’ONU ?, 56 – tome I : L’État français complice de groupes criminels, 56 – tome II : Mensonges et crimes d’État, Trump face à l’Europe, Le virus et le Président et enfin Le scandale Ivermectine.

Claude Janvier est écrivain essayiste. Un rien provocateur, doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois livres « coups de gueule » et a coécrit Le virus et le Président avec Jean-Loup Izambert. Depuis quinze ans, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité afin de mettre à jour les véritables informations qu’il diffuse dans les nombreux médias où il intervient. Adepte du courant de contre-culture dans les années 1970, il a acquis une certaine méfiance envers l’État « providence » et la société de consommation. Il reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».

Vous avez coécrit deux ouvrages sur la Covid-19, Le virus et le président, sorti en décembre 2020, et Covid-19, le bilan en 40 questions, paru en mai 2022. La Covid-19 est le sujet principal de vos deux livres, comment avez-vous vécu cette crise et quelle a été votre motivation pour dénoncer la gestion de l’État français ?
Claude Janvier : cette crise sanitaire survenue début 2020 a été providentielle si je puis dire, car elle a occulté la situation réelle de notre pays. En effet, Jean-Loup et moi, nous avons gratté le « vernis social » soigneusement entretenu par les médias de masse et nous avons découvert au fil de nos enquêtes que la situation en France est très loin d’être magnifique : 15,8 millions de pauvres sur 32 millions d’actifs, 7 Français sur 10 refusent de se soigner, inflation constante, bradage de nos industries, etc.
Le bourrage de crâne médiatico-politique a terrorisé une grande majorité de la population, et a eu pour conséquence de la rendre docile et obéissante à des directives contraires à leur bien-être. Confinements, couvre-feu, port du masque dans sa voiture, port du masque sur les plages, dans les forêts, passe sanitaire transformé en passe vaccinal liberticide… Liste non exhaustive pour un virus qui tue très très peu. Taux de létalité 2 % et risque de contamination de 0,001 %.
Jean-Loup Izambert : Notre motivation trouve son origine dans les informations contradictoires et fausses diffusées par l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le président de la République, des membres du gouvernement et des responsables d’administrations. S’y ajoutent, à la suite de mesures gouvernementales infondées, les situations dramatiques de citoyens que nous rencontrons au fil de notre enquête et l’attitude inadmissible de personnels administratifs et de certains soignants qui appliquent et font appliquer ces mesures catastrophiques et honteuses sans chercher à comprendre, sans la moindre humanité.
Les Français sont dans l’expectative devant l’opacité de la gestion de la Covid-19, que pensez-vous du conseil de défense sanitaire et du poids du secret-défense dans la pandémie ?
Claude Janvier : Le conseil de défense est un conseil à huis clos composé des Ministres et du Président. Portables éteints, pas de communiqués et aucune explication. Personne ne sait, à part les intéressés, ce qui se passe dans ces réunions. Le seul élément que nous connaissons est que ce conseil de défense s’appuie sur les recommandations du Conseil Scientifique dirigé par l’inénarrable Jean-François Delfraissy. Composé de 32 membres, avec seulement 3 médecins, ce conseil est aux ordres des technocrates de Santé Publique France – 625 agents, dotations en 2020 de 800 millions d’euros, et en 2021 de 3,8 milliards d’euros afin de constituer des stocks stratégiques (de quoi on ne sait pas) –, supervisé par les puissants laboratoires pharmaceutiques et poussé par un cabinet conseil répondant au nom connu de Mac Kinsey aux honoraires pharaoniques.
Rappelons pour mémoire que Jean-François Delfraissy, le 26 octobre 2020, déclarait à la presse et je cite : « On est dans une situation très difficile, il y a probablement plus de 50 000 cas par jour, on estime au conseil scientifique qu’on est plutôt autour de 100 000 cas par jour »… « Un virus qui circule de façon extrêmement rapide. Entre les cas diagnostiqués, les cas qui ne se font pas diagnostiquer et les formes asymptomatiques, on est autour de ce nombre de cas. »
Mieux qu’une boule de cristal. Comment fait-il pour deviner le nombre de cas ? On peut se poser une question : « Est-ce un scientifique sérieux ? ».
Jean-Loup Izambert : S’il y a secret c’est qu’il y a quelque chose à cacher. Tout est loin d’avoir été dit sur cette épidémie mais une chose est sûre : quand vous recourez au secret pour gouverner et prendre des mesures contre une maladie c’est que vous souhaitez que certaines informations ne soient pas rendues publiques et, dans le cas présent, que vous complotez contre l’intérêt général au profit d’intérêts privés très particuliers. Comme nous le montrons dans Covid-19 – Le bilan en 40 questions, les mesures gouvernementales ont été décidées en cabinet restreint et votées par des minorités de députés. Quant au plan de vaccination, il a été imposé en un mois par l’Union européenne sans aucun débat parlementaire ni consultation du peuple français alors qu’il est le premier concerné. Même les députés du Parlement européen n’ont pas pu avoir accès à l’intégralité des contrats passés avec les sociétés étasuniennes pour l’achat de ces vaccins expérimentaux. Je rappelle que pour la seule société Pfizer ces achats successifs sont estimés à plusieurs dizaines de milliards d’euros de fonds publics. C’est en fait un véritable « consortium des prédateurs » associant des oligarques de sociétés transnationales avec des dirigeants atlantistes et des fonctionnaires intouchables qui enfonce la France dans une crise très grave.
Vos livres servent à informer les Français qui doutent, comment ont-ils été accueillis par la presse et le milieu médical ?
Claude Janvier : Nos livres sont très bien accueillis par les médias libres et indépendants, et par un grand nombre de gens. Concernant le milieu médical, nous constatons que certains professeurs, grassement subventionnés par les grands laboratoires pharmaceutiques, semblent plus préoccupés par leurs prestations télévisuelles vantant les mérites des liquides expérimentaux appelés frauduleusement vaccins que de diffuser les véritables informations. Nos livres sont clairs, documentés et sourcés. Mais les vérités mettraient en péril leurs bénéfices juteux. Une grande partie de la haute caste médicale est totalement corrompue. Un exemple : obliger la population à porter le masque bleu chirurgical alors que le maillage est trop gros pour retenir le Coronavirus est la preuve d’une énorme escroquerie, plus destinée à maintenir la majorité des gens dans l’ignorance et la terreur. L’AFNOR, l’organisme d’état de la normalisation des produits en a établi les preuves. L’obscurantisme qui sévissait aux XIe et XIIe siècle est de retour. Plus enrobé, plus aseptisé, plus homogénéisé, mais tout aussi destructeur, si ce n’est plus.
Jean-Loup Izambert : L’accueil du public est très bon si l’on prend en compte sa faible promotion du fait de l’absence d’attaché de presse pour un document qui s’inscrit en plein dans l’actualité. Nous avons tissé de nombreux contacts au fil de nos années de recherches tout particulièrement avec les médias libres, blogueurs ou des associations qui nous permettent de donner plus de visibilité à notre enquête. Bien souvent, dès que des personnes ont connaissance du livre, nous sommes contactés pour donner des conférences-débats, des interviews ou même passer des commandes de livres que les gens ont du mal à trouver chez leur libraire. Dans ce cas, le mieux est d’acheter directement le livre à la Fnac. Il est indéniable que nos actions contribuent à créer un courant autour du livre aussi par le fait que des avocats, dirigeants d’associations y donnent des conseils pour aider les gens à défendre leurs droits et que nous recensons les coordonnées d’associations engagées dans ce combat.
Maintenant que nous en savons beaucoup plus sur le virus SARS Cov-2 et la Covid-19, que pensez-vous de l’hypothèse de l’arme biologique ou de l’instrument de destruction économique ?
Claude Janvier : L’OMS, l’organisation mondiale ou morbide de la santé, je vous laisse choisir, déclarait en 2018, donc bien avant l’arrivée du SARS Cov-2 : « La maladie X est une maladie encore inconnue qui un jour, très probablement, émergera et qui sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur ».
Plus récemment, l’OMS déclarait : « … Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… ». La messe est dite ! L’évangile selon « Sainte OMS ».
Nous sommes prévenus. Inflations, guerres bactériologiques, liquides expérimentaux injectés de gré ou de force, médicaments à outrance, crises économiques, guerres, famines, etc. Voici la société dystopique que l’oligarchie financière mondiale apatride veut nous imposer.
Jean-Loup Izambert : Il est à mon avis trop tôt pour répondre précisément à cette question même s’il est aujourd’hui prouvé que le virus SRAS-CoV-2 a été modifié en laboratoire et que plusieurs événements se sont déroulés aux États-Unis en 2018 et 2019 dans des laboratoires de l’armée ou travaillant pour l’armée où ces virus sont transformés en armes biologiques offensives. À la limite, que ce virus soit une arme biologique ou un instrument de destruction économique n’a pas, à l’heure où nous parlons, grande importance. L’essentiel aujourd’hui et dans les mois qui viennent est de dévoiler les mensonges des dirigeants de l’OMS, de l’Union européenne et de Paris sur plusieurs questions : l’inutilité des tests RT-PCR, la réalité de l’épidémie qui a aujourd’hui pratiquement disparu, le peu d’utilité des masques dit « barrière », la réalité sur ces vaccins à ARN messager et les très nombreux effets secondaires qui se développent, le coût de ces opérations pour les finances publiques, etc. Ces mensonges dévoilés, il apparaîtra une énorme tromperie dont il faudra alors expliquer les raisons. Bien entendu, l’enquête sur l’origine réelle de ce virus et sa propagation doit continuer tout comme les recherches sur les crimes et délits dont l’actuelle direction de l’OMS porte la responsabilité avec le « consortium des prédateurs ».
Pour finir cet entretien, comment envisagez-vous la fin de la crise Covid et que pouvons-nous faire pour que la vérité éclate ?
Claude Janvier : Il n’y aura pas de fin, sauf si, de plus en plus de gens se réveillent en refusant la doxa gouvernementale. La 4e dose pointe le bout de son nez, le passeport numérique européen est voté et entrera en application l’hiver 2022. Donc, plus nous ferons connaître les faits réels et les vérités, plus l’obscurité et l’ignorance reculeront. N’hésitez pas. Lisez les livres et documentez-vous grâce aux médias libres et indépendants. Oubliez les médias de masse, ils ne vous informeront pas. Ils vous conditionnent jour après jour. Mais fragiles sont les dictatures car, plus nous les mettrons en lumière, plus ils reculeront. Ils n’aiment pas briller sous les feux de la rampe. L’union fait la force, ne l’oubliez jamais.
Jean-Loup Izambert : Concernant la crise Covid-19, en s’en tenant aux résultats officiels, une majorité de votants, mais une minorité de Français, ont reconduit les responsables de la crise sanitaire à la direction des affaires de l’État. Ils ont donc voté pour l’aggravation de la crise et de la guerre et c’est ce que nous allons connaître. Pour autant, le pouvoir des oligarques est en difficulté et ne peut perdurer que par un système électoral truqué et l’incapacité de ceux qui proposent une politique de rupture avec leur système – Union Populaire, communistes du PRCF, Patriotes et bien d’autres – à se mettre autour d’une table pour se parler et proposer une plate-forme d’action commune : sortie de cette Union européenne et de l’euro, sortie de l’OTAN, nationalisation de secteurs clés de l’économie, refonte des institutions, mesures urgentes. Cela est possible puisque toutes ces organisations partagent de nombreuses propositions communes ou similaires. C’est pourquoi l’une des priorités aujourd’hui doit être de faire la lumière sur les mensonges du pouvoir tout en élevant d’un cran la bataille des idées pour un réel changement. La création de la coopérative d’information libre du Front Médiatique (www.frontmediatique.fr) est une heureuse initiative qui s’inscrit dans ces objectifs à un moment où le pouvoir de la grande bourgeoisie renforce son autoritarisme pour imposer sa politique néfaste.

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