22 mars 2021

J’ai reçu ma dose de « Radjaïdjah » ! *

Par Jean-Claude Rolinat

Une rumeur veut que, dans le sympathique petit microcosme des amis de Synthèse nationale, de Présent, du PDF et d’EuroLibertés, je sois « un grand voyageur ». Cette réputation flatteuse est, à mon sens, un peu surfaite encore que, c’est vrai, j’ai bourlingué pas mal en touriste engagé et averti de la Nouvelle-Zélande à la Laponie, de Moscou à Denver, de Copenhague à Phnom-Penh, de Barcelone à Ho-Chi-Minh ville – pardon, Saïgon ! –, de Nouméa à Pretoria ou encore de Mexico à « mon » Argentine des Perón, sans oublier ni le Brésil, ni le Proche-Orient « bien compliqué ».

Or, avec l’irruption depuis une bonne année de ce foutu virus chinois dans les deux hémisphères, se déplacer à l’étranger revient à résoudre la quadrature du cercle ! Pour pouvoir sortir de l’hexagone et faire encore quelques petits reportages de « choses vues », J’ai donc dû me résoudre à me faire vacciner ce vendredi 19 mars – date sinistre s’il en est –, en espérant qu’elle ne me portera pas la poisse ! Je me suis donc fait injecter le « Radjaïdjah », vous savez, « le poison qui rend fou » comme le dit l’infecte Mitsuhirato en piquant Tintin (page 23), dans l’inoubliable album d’Hergé, Le lotus Bleu édité chez Casterman !

Alors, s’il me pousse des écailles ou des nageoires, ou que je doive faire, moi aussi, mon coming out pour changement de sexe, je vous le dirai !

Sauf nécessité absolue et beaucoup de contacts humains rendus obligatoires par votre profession, il est peut-être urgent d’attendre et d’observer les éventuelles retombées négatives ou positives, de la vaccination au Pfizer sur les cobayes dont, désormais, je fais partie. Ou, mieux, guetter l’arrivée attendue sur le marché de nouveaux vaccins dont, cocorico, le nôtre, bien enrubanné de tricolore, ou encore le Spoutnik russe (un comble, la Russie venant au secours de l’Union européenne alors qu’elle fit trembler tout l’Occident pendant plus d’une bonne moitié du XXe siècle, quelle revanche !).

Quant à l’AstraZenica, victime d’une mauvaise presse reposant sur d’alarmants constats à vérifier, attendons de voir ses effets sur Monsieur Castex « qui s’est jeté à l’eau », et n’en parlons pas par charité chrétienne !

En attendant, le grand Pasteur doit se retourner dans sa tombe en voyant dans quelle mélasse se débat sa patrie !

Note

(1) Lire et relire Le Lotus bleu !

Vient de paraître  : Ces drôles d’États grands comme un mouchoir de poche,  Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, préface d’Olivier Pichon, 31,00€. Pour commander ce livre, cliquez ici.

« Après son Diction­naire des États éphémères et disparus de 1900 à nos jours (réactualisée en 2020), voici que notre grand voyageur sous le soleil, après d’autres livres, nous con­duit dans ces poussières d’États, ces confettis de l’empire (pour ceux que la France et les autres colonisèrent) et ces reliquats (le mot n’est pas péjoratif) d’une époque où les géants ne régnaient pas sur la planète et la mondialisation ne dévorait pas encore le temps, l’espace et les hommes » (extrait de la préface d’Olivier Pichon).

Bien des « pastilles » souveraines sont issues de la décolonisation. C’est à la découverte de ces « anomalies » historiques, géographiques et juridiques, entités politiques indépendantes ou autonomes, d’une superficie inférieure à 500 km² et d’une population de moins de 100 000 habitants, que vous invite ce livre. À l’appui de chaque monographie, des statistiques, des anecdotes, des évocations touristiques, relatives à ces minuscules pays qui pour beaucoup d’entre eux, siègent comme des « grands » à l’ONU, aux côtés de la Chine, des États-Unis, de la France ou de la Russie, dans le building de verre de l’East River.

Ces drôles d’États grands comme un mouchoir de poche,  Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, préface d’Olivier Pichon.

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