15 mars 2022

Sandrine Rouseau définitivement en roue libre

Par Philippe Randa

La France a découverte Sandrine Rousseau, non à l’occasion d’un radio-crochet de comiques en vadrouille, mais lors de la primaire organisée chez les écologistes d’EELV pour l’élection présidentielle : finaliste, mais battue par Yannick Jadot, elle avait toutefois intégrée son équipe de campagne jusqu’à ses derniers jours où elle en a été dégagée pour cause de « parasitage » : la dame n’a en effet rien trouvée de mieux que de déclarer que ses petits camarades « se plantent sur tout ! », notamment, qui l’eut crû ! sur la cravate qu’arbore le prétentant élyséen, preuve qu’« il n’assume pas son passé de militant chez Greenpeace. En a-t-il vraiment un d’ailleurs ? »

Loin d’être abattue par sa mise à l’écart, la passionnaria de la dinguerie en roue libre s’est encore illustrée lors de son passage ce week-end à Toulouse où elle participait à un grand débat autour des questions féministes dans les cités… Après avoir chauffé la salle en déclarant qu’elle sentait bien que « lorsqu’(elle prenait) la parole et que certains considèrent qu’elle n’est pas légitime, (il s’agissait) d’un acte de domination », elle a confessé ses terribles angoisses quotidiennes : « Ça me déprime de faire de la politique dans des groupes du Ku Klux Klan. Je veux faire de la politique avec des visages de toutes les couleurs »…

Ainsi donc, Yannick Jadot et ses ex-petits camarades d’EELV arborerait cagoule et robe blanche à leurs heures perdues : dont acte… et no comment !

« Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi ! » : une citation qu’on attribue aussi bien à l’acteur Pierre Fresnay qu’au journaliste Léon Zitrone, au choix… et qui est plus convenable que l’adage populaire sur une personne tellement prête à tout pour qu’on parle d’elle qu’elle pourrait même finir par « montrer ses fesses ! »

Souhaitons à dame Rousseau ne pas se croire un jour obligée d’en arriver à une telle extrémité… et peut-être une âme charitable pourrait-elle même, par principe de précaution, tenter de la convaincre d’ôter de son crâne l’entonnoir qu’elle arbore fièrement à chacune de ses interventions.

Même les plus méchants d’entre tous les mâles blancs de plus 50 ans finissent par en avoir honte pour elle !

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