29 janvier 2025

Jacques Weber, le haineux troupier de l’anti-Trump !

Par Philippe Randa

De la guerre russo-ukrainienne au conflit israélo-palestinien, en passant par les droits de douane ou le coup de pied dans la névrose wokiste, le 47e président américain tout juste élu monopolise décidément l’actualité comme jamais.

Donald par-ci, Trump par là, les commentaires vont aussi bon train qu’ils sont diamétralement opposés : « On va (enfin !) voir ce qu’on va voir » s’enthousiasment tous ceux qui se délectent de ses fracassantes déclarations, tandis que ceux qui frôlent la grande dépression après la tétanisation de sa triomphale (ré)élection en sont réduits pour beaucoup à… l’injure !

Ainsi l’acteur Jacques Weber, dont on peut s’interroger sur la qualité pour parler du 47e Président des États-Unis d’Amérique, qui s’est étranglé de rage et d’aigreur sur les ondes de RTL « … il y a une feuille de cigarette entre le nazisme et Trump (…) Trump est une ordure absolue, un danger non seulement pour son pays, mais pour le monde entier. C’est quelque chose de catastrophique qui nous arrive. On est en très grand danger à cause de quelques monstres issus de la démocratie et les gens votent désormais par pulsion et non plus en réfléchissant (…) Il faut descendre dans la rue pour sortir Trump ! C’est un gros dégueulasse qu’il faut supprimer littéralement. »

On peut à juste titre s’offusquer de la vulgarité de tels propos, ricaner du grotesque de l’exhortation à descendre dans la rue ou s’indigner de menaces de mort publiques et surtout qu’elles n’aient pas émues plus que cela les journalistes présents à la radio.

Vulgarité, violence urbaine et menaces tous azimuts : des arguments dont ces derniers affublent pourtant en général les prétendus nostalgiques de ce nazisme tant abohrré.

Ce qui est étonnant toutefois n’est nullement cette prestation assez pitoyable d’un personnage ne cherchant peut-être qu’à « faire l’in(in)téressant » ou à promouvoir à moindre frais son dernier spectacle – il incarne au théâtre François Genoud, le banquier d’Hitler –, mais on est habitué désormais à ce que les saltimbanques s’immiscent ainsi dans la politique pour ânnoner des discours formatés par le politiquement correct.

Non, c’est qu’on leur fasse rarement remarquer que quatre-vingt ans après la chute du IIIe Reich, quatre-vingt ans de dénonciations quasi-quotidiennes du national-socialisme, de ses œuvres et de ses crimes réels ou supposés, quatre-vingt ans d’alertes permanentes contre ses prétendus héritiers et complices, des millions de femmes et d’homme, à travers le monde, ne cessent de grossir les rangs de leurs partis et déposent régulièrement des bulletins de vote en leur faveur dans les urnes.

Précisément en ce qui concerne Donald Trump, on ne peut en tout cas lui faire reproche d’avoir caché ses « diaboliques projets » une fois la Maison Blanche réintégrée… parmi lesquelles les historiens, s’ils sont honnêtes, seraient bien en mal de trouver beaucoup de similitudes avec le national-socialisme prôné par Adolf Hitler, sinon peut-être la volonté affichée de rendre à leur pays respectif fierté, grandeur et prospérité.

Mais quel chef d’État, quel prétendant à la direction de son pays, n’affiche-t-il pas cette même volonté ?

De plus, cerise sur le gâteau, concernant justement les projets de Donald Trump énoncés durant sa campagne électorale, comment expliquer que ce représentant du Parti républicain ait significativement augmenté ses électeurs dans la communauté noire et bien plus encore dans la communauté hispanique, traditionnellement l’une et l’autre acquise au Parti démocrate de sa rivale ?

Ces « rastaquouères-là » n’auraient-ils finalement fait qu’imiter nombre de communistes teutons qui rejoignirent par cellules entières les Sections d’assaut du NSDAP, alors même que le Führer n’était pas encore entré à la chancellerie ?

Monsieur Weber, avant lui-même d’éructer par pulsion, devrait réfléchir avant de s’exprimer, ravaler sa grossièreté et peut-être ne pas trop exhorter les gens à descendre dans les rues. Il ignore sans doute qu’elles deviennent de moins en moins sûres en nos incertaines et plus en plus nombreuses zones de non-droit.

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