31 octobre 2021

Après la fracture sociale, la fracture de l’emmerdement maximum

Par Philippe Randa

Un des principaux slogan de campagne du candidat Jacques Chirac en 1995 fut la lutte contre la fracture sociale : « La France fut longtemps considérée comme un modèle de mobilité sociale (…) Or, la sécurité économique et la certitude du lendemain sont désormais des privilèges (…) Une fracture sociale se creuse dont l’ensemble de la Nation supporte la charge. »

Certes, après 12 ans de présidence chiraquienne, cette fracture sociale, loin d’avoir été réparée, s’était nettement accentuée, comme sous les quinquennat suivants… Au point où elle semble même, aujourd’hui, considérée par beaucoup comme un fait acquis. On s’est habitué à vivre avec. Comme on devrait, d’après certains Philippulus (le prophète fou annonçant l’apocalypse dans Tintin et l’étoile mystérieuse) de la médecine n’ont cessé d’annoncer ces deux dernières années qu’il nous faudrait s’habituer à « vivre avec le covid » et comme d’autres voudraient bien qu’on s’habitude au « vivre ensemble… enfin, surtout, à « vive comme eux » !

Toute élection présidentielle a donc un thème de campagne spécifique. Et si Éric Zemmour l’avait trouvé en reprenant à son compte le coup de gueule célèbre d’un autre président de la république, un certain Georges Pompidou qui s’adressait alors – c’était en 1966 ! – à… Jacques Chirac, alors simple chargé de mission venu le voir avec une montagne de décrets à signer : « Mais arrêtez donc d’emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays ! »

Les Français seraient « emmerdés » et de plus en plus ? Il n’y a certes que l’embarras du choix : permis à point, limitation de vitesse, port du masque, pass-sanitaire, etc. qui ne semble avoir d’autres buts, selon le pressenti candidat à la Fonction suprême, que de remplir les caisses de l’État. Un racket, sans doute pas nouveau, mais qui s’est emballé comme jamais.

Un « pognon de dingue », en quelque sorte, mais indispensable, à l’évidence, à la « gestion de dingue » de la France depuis quatre décennies et plus encore depuis quatre ans !

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