14 juillet : l’illusion de la grandeur d’une nation incapable de se faire respecter chez elle !
Le Président est content, les généraux aussi, le soleil et la foule des grands jours étaient là. Cette dernière était venue « voir et complimenter l’Armée française » lors de son traditionnel défilé, avec un spectaculaire prologue indien offert par les hommes du régiment du Pendjab. On ne peut que se féliciter de cet aspect de la diplomatie macronienne – une fois n’est pas coutume ! – en effet, l’Inde est un solide verrou à l’expansionnisme islamique pakistanais, et un potentiel challenger de la Chine pour le leadership du Tiers-monde.
Ils étaient tous là, à pied, à cheval, ou montés dans leurs blindés au nouvel habillage chromatique… Les gardes républicains avec leur casque à crinière, les légionnaires aux pas lents, coiffés de leur képi blanc, les artilleurs, les « tringlots » et les marsouins, pas un bouton de guêtre ne manquait, on a raclé les fonds de tiroirs pour montrer au grand public ce que la France a de plus beau dans le domaine militaire.
À quoi sert tout ce beau matériel ?
Mais, de vous à moi, à quoi peuvent bien servir ces chars Leclerc capables de délivrer la mort tout en roulant à grande vitesse, ces performants Rafales et autre A-400 M de transport, grands comme des halls de gare, ces canons Caesar livrés à l’Ukraine, alors qu’à quelques kilomètres des Champs-Élysées toute une faune grouillante et exotique « deale » et ne rêve que de « casser du flic » et de mettre tout « à feu et à sang » ? Où étaient ces matériels et les hommes qui les servent lors des nuits d’émeutes qui ont saccagé la France suburbaine, comme la France profonde ?
L’ardoise sera lourde à régler, si l’État et les collectivités territoriales appliquent le fameux « quoiqu’il en coûte » macronien pour reconstruire mairies, crèches, médiathèques et autres salles des fêtes que des sauvages ont détruites. Qui cotisera plus pour payer des polices d’assurance en hausse, afin d’indemniser les quelque 5 000 propriétaires de véhicules partis en fumée ? Où iront les bambins privés de crèches et les élèves des « quartiers » privés d’école parties en fumée ? Qui payera la note pour racheter bus et trams volatilisés ?
Une « vengeance », vraiment ?
Le prétexte invoqué d’une vengeance en mémoire d’un jeune récidiviste n’obtempérant pas à un contrôle policier, tient-il la route ? Que nenni, mes amis. C’est la haine de la France, une haine « franche et massive » comme aurait dit « mon général », à l’égard d’un pays qui les a vus naître et qui les nourrit, qui habite tous ces milliers d’insurgés, ces voleurs, ces pilleurs sans foi ni loi, que seuls les ordres des « grands frères » – essentiellement parrains du business de la drogue – ont reconduits dans leurs tanières de béton. Non, ce ne sont pas les mâles paroles du Tartarin de la place Beauvau montrant ses petits « biscotos » qui ont rétabli l’ordre, ni les rodomontades du Président et de sa Première ministre.
Pour la nuit du 13 au 14, on a recensé « seulement » 218 voitures brûlées, et une petite vingtaine de commissariats caillassés ou attaqués. Dans la nuit du 14 au 15, 255 autres véhicules ont été incendiés. Tout va mieux…
Les recettes pour venir à bout de ces néo « Barbaresques », on les connaît : fin de l’impunité, déchéance de la nationalité française pour les binationaux condamnés, et leur expulsion immédiate après l’exécution de leur peine, mise en détention de tous les délinquants et, s’il le faut, par manque de places, comme le font le Danemark et l’Australie – toutes deux démocraties irréprochables – « externaliser » ces détentions, au Kosovo et au Rwanda pour l’un, en Papouasie-Nouvelle-Guinée pour l’autre. Mais trions bien le bon grain de l’ivraie. Prenons bien soin de repérer et d’isoler parmi ces populations, les éléments sains qui travaillent et ne demandent rien d’autre que d’être tranquilles. Et surtout, surtout, il faut fermer le robinet de l’immigration, qu’elle soit légale ou clandestine – limitons le droit d’asile – par la suppression de tous les avantages sociaux, et par la destruction des nids de passeurs en Libye. Là, l’armée – les trois armes – aurait une occasion unique de nous montrer son savoir-faire, plutôt que d’aller monter une garde facultative et bien inutile aux confins roumains, par exemple.
L’avertissement « sans frais » d’un Algérien
Le courageux écrivain algérien Boualem Sansal nous prévient dans un article paru dans le numéro du 13 courant de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles : « La France s’effondre sous le poids de l’immigration africaine, maghrébine, arabe, musulmane, sous les coups que l’islamisme importé de ces régions a portés à sa cohérence sociale et culturelle »… Et de nous avertir, que « la prochaine émeute des banlieues est déjà en route. Elle sera peut-être “la big one” »… Que disaient et que disent d’autre depuis des lustres des Le Pen, des Mégret, des Gollnisch, des Dupont-Aignan des Villiers et des Zemmour ?
« Fort avec les faibles », « faible avec les forts », Macron n’est en aucun cas l’homme de la situation. Véritable « zombie » des beaux quartiers, il n’a pas la structure mentale, la colonne vertébrale idéologique, qui le conduirait à réprimer. Dommage. Comptons sur nous-mêmes, sur nos mouvements politiques identitaires et souverainistes, sans oublier l’espoir d’un petit coup de pouce de la Providence, ça ne peut pas faire de mal !
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