6 avril 2021

Un journalisme de subversion

Par Georges Feltin-Tracol

Chronique hebdomadaire du Village planétaire

Lancé en 2008 par l’ancien rédacteur en chef du Monde de 1996 à 2004, Edwy Plenel, le site d’informations Mediapart s’affiche en fer de lance du journalisme d’« investigation ». En réalité, ses enquêtes sont souvent à charge. On se demande même si tous ceux qui y officient n’ont pas raté leur vocation : jouer aux chevaliers blancs de la Vertu bien que les termes « chevalier » et « blanc » ne conviennent pas vraiment à l’esprit de la boutique multiculturaliste.

La grasse presse officielle reprend sans discussion et dans un magnifique mouvement digne des chiens de Pavlov ses exclusivités. Le 10 mars dernier, les rédactions de la région Auvergne – Rhône-Alpes virent à l’incandescence : Mediapart accuse le président Les Républicains du Conseil régional Laurent Wauquiez de distribuer largement des subventions à son fief de Haute-Loire et aux communes dites « de droite ».

Sans vouloir soutenir l’ancien ministre sarkozyste, remarquons toutefois que cette « enquête » biaisée est partiale et fielleuse. Les journalistes se focalisent sur les seules subventions régionales. Ils oublient que les banlieues de l’immigration et les communes de gauche bénéficient des largesses financières de certains conseils départementaux et de l’État par le biais de la néfaste politique de la ville. Les élections régionales approchent. Tout est bon pour entraver la campagne à venir du président sortant…

Toujours dans ce mois de mars paraissent deux enquêtes concernant une soi-disant « filière » néo-nazie au sein de l’armée française. On en frémit d’avance. Les journaleux rapportent des faits survenus en 2009 et en 2011. On reste cependant surpris qu’ils n’évoquent pas des faits gravissimes connus entre 1940 et 1944… Seraient-ils limités d’un point de vue intellectuel, financier ou temporel ?

Les Rouletabille de Mediapart s’indignent qu’une centaine de militaires montreraient de la curiosité pour les doctrines nationale-socialiste allemande et fasciste italienne, ce qui n’est, concédons-le volontiers, pas bien du tout. Bou-ouh-ouh, les vilains garçons ! Les antimilitaristes de Mediapart ne rechercheraient-ils pas en fait la perle rare : des militaires pacifistes et non-violents ? Leur quête est tout aussi prometteuse que de découvrir des lions végétariens et des loups herbivores.

Les petits soldats d’Edwy Plenel ignorent sûrement que les militaires professionnels apprécient l’histoire militaire, la rei militaris, en particulier la IIe Guerre mondiale. Seraient-ils finalement les seuls à ne pas devoir s’intéresser à ce conflit promu en alpha et oméga d’une mémoire officielle manichéenne ? Ce serait un bien curieux paradoxe. Regrettons par ailleurs que les fins limiers de Mediapart méconnaissent l’influence croissante de l’islamisme dans les unités de l’armée française. Ils s’apercevraient que bien des régiments ont disparu pour ce motif inavouable.

Plus qu’un journalisme militant d’enquête et d’opinion, Mediapart incarne un journalisme de subversion. Cette officine médiatique se plaît à dénoncer des chroniqueurs populaires sur YouTube qui s’opposent, à l’instar de Julien Rochedy, à l’actuelle chape de plomb. Ainsi ces donneurs de leçons stipendiés appellent-ils à la censure, au ralentissement, voire à la suppression de ces chaînes personnelles politiquement incorrectes.

En s’inspirant des précédents inquiétants des Parquets anti-terroriste et national financier, le gouvernement envisage la constitution d’un « Parquet de lutte contre la haine en ligne ». Inutile d’y pourvoir magistrats, procureurs, juges d’instruction et greffiers ! Avec le zèle que déploie Mediapart depuis tant d’années, l’entreprise de journalisme hémiplégique remplit parfaitement tous les critères d’admission.

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