17 juillet 2023

Les juifs contre Soros

Par article conseillé par EuroLibertés

Alors qu’il vient de confier les rênes de l’empire familial à son fils Alexander, George Soros — le philanthrope destructeur — est, à nouveau, sous le feu des critiques.

Attaquer Soros est-il antisémite ?

Lorsque le sujet Soros est mis sur la table, les anathèmes fusent. Antisémitisme et complotisme sont les principaux chefs d’accusation employés par les médias contre ceux qui osent évoquer l’influence de l’Open Society Foundations dans les domaines politiques, médiatiques ou culturels. Il n’est pas étonnant de voir Soros et ses épigones investir le champ des médias sous cette véritable digue de protection. Illustrons, en citant les exemples récents de Disclose ou Vice. Dans la même optique, il n’est pas plus surprenant de voir le domaine du fact-checking — autre manière de désigner la faculté à distribuer des certificats de complotisme — investi par Soros et consort.

Josh Hammer et Will Scharf répondent à la question

Dans une époque où les statues sont déboulonnées, les anathèmes le sont aussi. Ainsi, le 9 juin 2023, Josh Hammer, rédacteur en chef de Newsweek, et Will Scharf, candidat au poste de procureur général du Missouri, ont annoncé la création d’un groupe « les juifs contre Soros ». Dans une tribune publiée dans Newsweek intitulée « Nous sommes des juifs contre Soros », Josh Hammer charge Soros. Dès la première phrase, Soros y est qualifié d’« homme démoniaque », ajoutant qu’il est l’un des hommes les plus démoniaques qui façonnent les politiques en Amérique du Nord et en Europe. Dans les lignes qui suivent, le milliardaire hongrois y est décrit comme ce qu’il est : un militant mondialiste usant de ses canaux d’influences — et ils sont nombreux — afin de déstabiliser les États, de l’intérieur ou de l’extérieur. Son ingérence politique est évoquée au travers de ses dons faits aux différentes campagnes électorales, citons celui en faveur d’Hilary Clinton en 2016, ainsi qu’au travers de ses opinions politiques (et de ses actions !) destructrices pour les nations. L’ensemble de ses œuvres y sont passées au crible. Récemment encore, nous avons illustré cette main invisible qu’est celle de Soros en nous attardant sur le cas de la Roumanie postsoviétique.

Lever l’immunité factice de l’antisémitisme

Mais le rédacteur de Newsweek évoque un autre aspect de la domination de Soros : son immunité. Dans les médias mainstream, critiquer Soros est volontiers considéré  comme un acte antisémite. Récemment encore, c’est Elon Musk qui a été victime de ce procédé après avoir critiqué le philanthrope sur Twitter. En réponse, Hammer énonce cette vérité : critiquer Soros ce n’est pas critiquer l’ensemble des juifs, ce n’est pas antisémite. Afin de contourner cette accusation, Hammer et Scharf se réfugient derrière l’un de leurs rares points communs avec George Soros : leur judéité. S’abritant derrière ce bouclier, ils le proclament : critiquer Soros ce n’est pas antisémite, parole de juifs !

Ce que demandent simplement Hammer et Scharf, c’est de sortir de cette disqualification de la critique de l’entreprise de Soros, permise par la malhonnêteté intellectuelle d’une poignée de journalistes complices.

Article paru sur le site de l’OJIM.

L’OJIM consacré une brochure numérique à George Soros, réservée à nos donateurs dès un euro. Pour l’obtenir – toujours avec un reçu fiscal de 66% de votre don – cliquez ci-dessous :

Faire un don

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99

Partager :