Après le droit du sol, le droit au non-refoulement
« La Commission européenne a sollicité une réunion extraordinaire urgente du conseil d’administration de Frontex, l’agence européenne pour la protection des frontières, mise en cause pour des refoulements illégaux de migrants en mer Égée », nous apprend le site euractiv.
Refoulement illégaux de migrants : il y aurait donc des refoulement « légaux » et d’autres qui ne le seraient pas… concernant des migrants qui ne seraient donc plus, eux, forcément « illégaux », même si, en pleine mer Égée, ils franchissent la frontière turque pour tenter de pénétrer sans autorisation aucune en Grèce…
« Après s’être coordonnés avec la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, mes services ont demandé, au nom de la Commission, la convocation d’une réunion extraordinaire du conseil d’administration de Frontex le 10 novembre pour discuter des incidents présumés de refoulement en Grèce et de la protection des droits fondamentaux », a tweeté Ylva Johansson, commissaire chargée des migrations.
En cause, des « pushbacks » (refoulements) de migrants, soit une pratique illégale visant à obliger les envahisseurs de poursuivre leur traversée en obligeant leurs embarcations à faire demi-tour.
On connaît pratiques plus dangereuses, voire plus expéditives, pour faire passer le gout de l’invasion, mais quoi qu’il en soit, Frontex a nié ces accusations et assuré que ses agents respectaient le « droit au non-refoulement. »
Il est néanmoins intéressant d’apprendre à cette occasion que les premiers « pushbacks » mis en cause datent… d’avril dernier ! Soit en plein confinement sanitaire !
Certains responsables européens jugent donc qu’il était alors légal de laisser entrer des migrants, covid ou pas… alors que la plupart des Européens étaient assignés à résidence !
C’est le monde à l’envers, mais partant des adages populaires qu’on peut s’attendre à tout, surtout quant à l’impossible nul n’est tenu, peut-on encore s’en offusquer plus que ça ?
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99