Union européenne. Président de la commission environnement du Parlement européen, le Français Pascal Canfin, élu sur la liste Renaissance (majorité présidentielle), va jouer un rôle clé dans la mise en place du « Green Deal » promis par Ursula von der Leyen, la future présidente de la Commission de Bruxelles.
Le probable prochain représentant de l’UE pour les Affaires étrangères, serait l’Espagnol Josep Borrell. Lors de son audition devant le Parlement, il a dressé les grandes lignes de son action et a fait part de son intention de poursuivre dans la voie des sanctions contre Moscou. Et, il a plaidé pour que les décisions soient prises à la majorité et non plus à l’unanimité.
Les eurodéputés ont sèchement repoussé la candidature de Sylvie Goulard en tant que commissaire européen et ce malgré sa nomination par d’Emmanuel Macron qui, au passage, se prend une grande claque. Un vote sans appel, 82 voix contre et 29 voix pour. Ce qui par contre coup ne manque pas de fragiliser la présidente Ursula von der Leyen.
Angleterre. Faisant escale en Afrique du Sud, l’épouse du prince Harry a rendu hommage à Uyinene Mrwetyana, jeune africaine bantoue assassinée, mais a oublié la défunte fermière Annette Kennealy, de la province du Limpopo, suppliciée de 59 coups de marteau par des activistes noirs qui massacrèrent aussi ses chiens et ses chevaux.
Un million de Polonais vivent en Grande-Bretagne. Le pays, par ailleurs, importe 30 % de ses produits alimentaires de l’Union européenne.
Allemagne. Un réfugié syrien, au volant d’un camion volé a percuté plusieurs voitures. Cela s’est passé à Limburg, dans l’ouest du pays. On dénombre une dizaine de blessés. Les motivations de l’acte demeurent obscures. Fort curieusement, le parquet antiterroriste ne juge pas bon se saisir de l’affaire. Et les médias de servir la thèse du « déséquilibré ».
Deux jours plus tard, une attaque similaire a eu lieu contre une synagogue et un cimetière juif. L’homme muni d’un fusil d’assaut a tenté d’entrer dans la synagogue mais la résistance de la porte ne lui a pas permis d’entrer, évitant un carnage. La piste de l’extrême droite est évoquée. La presse se déchaîne.
Mais dans ce cas précis, Horst Seehofer, le ministre allemand de l’Intérieur, s’est empressé d’expliquer : « Nous devons partir du principe qu’il s’agit d’une attaque antisémite. »
Reste que tout ça mérite d’être confirmé.
Un avion F16 des forces armées d’occupation américaine, de la base aérienne de Spangdaheim, s’est craché non loin de Trèves. Le pilote effectuait un vol d’entraînement. Il a fort heureusement réussi à s’éjecter et il a été hospitalisé.
Belgique. Les deux figures politiques belges, Didier Reynders et Johan Van de Lanotte, chargées de dégager des pistes pour former un gouvernement ont passé le relais aux deux plus grands partis, le PS et la N-VA (nationalistes flamands).
Espagne. Le corps de Francisco Franco sera transféré du mausolée de la « Valle de los Caídos » au cimetière du Pardo, près de Madrid. Ce transfert n’entache cependant en rien toute la symbolique qui entoure la Valle de los Caidos où figurent toujours la basilique, la dépouille de Juan Antonio Primo de Rivera, le fondateur de la Phalange espagnole.
Italie. Les députés ont voté définitivement – 553 votes pour 14 contre – la diminution de plus d’un tiers des effectifs des deux Chambres. Ils ne seront plus que 400 contre 630 actuellement. Une victoire du M5S qui réclame cette mesure depuis sa fondation.
Plus de 50 % des enseignants du primaire et du secondaire ont plus de 50 ans (28 % en France et 40 % en Allemagne).
Lettonie. Commentaire d’Artis Pabriks, ministre de la Défense, lors d’une cérémonie officielle pour les 75 ans des combats contre l’Armée rouge : « Les Lettons engagés dans les Waffen SS sont la fierté du peuple. »
Portugal. Victoire sans nuance du traditionnel Parti socialiste portugais (36,65 %) aux élections législatives face au centre droit (27,9 %). Cette performance incombe en grande partie à son leader, le social-démocrate Antonio Costa, premier ministre sortant et auteur de ce que tous désignent désormais comme « le miracle portugais ».
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
Navigation de l’article
Journaliste professionnel, directeur du « Journal du Chaos ». Animateur de l'émission « Artisans de France » sur TVLibertés avec Pierre Chabot. A collaboré à « L'islamisation de la France. Fantasme ou réalité ? » (Éditions de L'Æncre, 2015). Il vient de publier un « Guide sulfureux du Paris “réac & facho” » (Éditions Synthèse nationale).