Brèves d’Europe

Union européenne. Les pays d’Europe centrale sont tous très industriels, mais dépendent du prix des hydrocarbures désormais élevé et sont fortement exportateurs. Or toutes leurs économies sont, à des degrés divers, des fournisseurs de l’industrie allemande et la première économie d’Europe est en récession.

Le groupe franco-allemand d’experts indépendants (?) remet au ministre des Affaires étrangères un inventaire des pistes à explorer pour élargir l’UE. Notamment l’Ukraine et les Balkans. Sauf que cet élargissement nécessiterait une refonte totale des financements comme la PAC.

Allemagne. Déclaration pour le moins surprenante du chancelier allemand Olaf Scholz à l’issue du dernier G20, affirmant que le monde à venir « ne concerne pas l’Occident ou qui que ce soit d’autre mais sera simplement plus multipolaire ».

Une manière de signifier qu’il n’a pas grand-chose à faire des initiatives européennes – même en matière industrielle – et encore moins des relations bilatérales franco-allemandes.

Gros froid entre Pékin et Berlin. L’évaporée ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock a qualifié le président Xi Jinping de « dictateur » sur Fox News. L’ambassadeur d’Allemagne à Pékin a été illico convoqué.

Angleterre. Le roi Charles III en visite pour trois jours en France avec sa femme Camilla, a surtout réussi son examen de passage depuis son accession au trône, voici un an maintenant.

59 % de la population britannique considère que « le roi fait du bon travail », selon un récent sondage YouGov. Il n’y a pas eu de faux pas, pas de mauvaise surprise. Pour l’instant, Charles se livre à la remise aux normes actuelles du fonctionnement du palais.

Le gouvernement conservateur britannique freine sur le front environnemental. Rishi Sunak a annoncé un ralentissement dans la marche vers la neutralité carbone. L’interdiction des voitures à carburant fossile est ainsi repoussée de 2030 à 2035. Recul également sur les chaudières à mazout afin de ne pas pénaliser les ménages.

Enfin, Il n’y aura pas d’interdiction sur l’exploitation pétrolière et gazière en mer du Nord, qui laisserait le pays « dépendant d’une énergie importée coûteuse ». Logique mon cher Watson.

Belgique. Huit écoles en Wallonie ont fait l’objet d’incendies criminels. Un lien a été établi avec une campagne menée par les milieux religieux radicaux aussi bien musulmans, catholiques et autres extrémistes contre l’éducation sexuelle à l’école.

Italie. Le maire de la petite ville de Grosseto en Toscane a reçu le feu vert de la préfecture pour baptiser deux rues : l’une du nom de l’ancien patron du PC, Enrico Berlinguer, et l’autre de celui de Giorgio Almirante, fondateur du Mouvement social italien (MSI), grand admirateur de Mussolini.

Russie. Le président Vladimir Poutine a confirmé qu’il se rendrait en Chine en octobre à l’invitation de son homologue Xi Jinping, à l’occasion du Forum sur les nouvelles routes de la soie, qui réunit des dirigeants internationaux.

Ukraine. La tension s’exacerbe autour des céréales ukrainiennes. Le conflit a connu une nouvelle escalade après que Kiev a annoncé le lancement de poursuites contre la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie auprès de l’OMC, au sujet de leur blocage de produits agricoles ukrainiens.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99