Brèves d’Europe
Union européenne. Afin de punir toujours plus la Russie, les instances européennes ont décidé de créer un « groupe de travail » qui sera chargé de « recenser et localiser les actifs russes immobilisés » et d’envisager de les confisquer « au bénéfice de Kiev ».
La Commission européenne demande à tous ses employés de supprimer TikTok de leurs réseaux de téléphone (pro et perso) car celle-ci est soupçonnée de siphonner les data de ses utilisateurs au profit des Chinois.
Allemagne. Quelque 1,1 million d’Ukrainiens sont arrivés en Allemagne en 2022 – 140 000 sont repartis –, soit davantage que le nombre de Syriens, Irakiens ou Afghans accueillis entre 2014 et 2016. 22 % des réfugiés occupent déjà des emplois rémunérés.
L’entreprise de transport passagers FlixBus a depuis le début de la guerre doublé le nombre de ses lignes au départ de l’Ukraine vers l’Europe passant de 8 à 16. Fin février la compagnie ouvrira une ligne Kiev-Berlin-Brême.
Espagne. La ministre de l’Egalité, Irène Montero, est arrivée à ses fins : imposer l’égalité réelle et effective des personnes « trans ». Désormais, tout Espagnol de plus de 16 ans jouit du droit à « l’autodétermination de genre ».
Pologne. Cela ne date pas d’aujourd’hui que la Pologne pose un problème aux européens. Le pays est statufié dans sa haine de la Russie. Et ils sont les premiers soutiens à la cause ukrainienne.
Ils ont créé un hub logistique à Rzeszow, tout près de la frontière, transformant l’aéroport de la ville en dépôt d’armement. C’est ici aussi qu’a été installée une base militaire américaine de quelque 10 000 hommes.
Russie. Malgré les sanctions le FMI prédit que la croissance économique russe sera plus dynamique que celle de l’Europe en 2023. Mais les nouvelles sanctions contre le pétrole russe pourraient compliquer la donne.
Quelques chiffres : la Russie a engrangé 191 Mds€ grâce à ses exportations de brut et de produits pétroliers (dont 85 Mds€ de la part de l’UE) depuis le début du conflit. En revanche, sa production de gaz a chuté de 25%. L’UE était son principal client.
Vladimir Poutine s’est longuement exprimé devant l’Assemblée fédérale russe. Il a accusé l’Ukraine et les Occidentaux d’être responsables de la guerre et d’avoir orchestré le conflit pour rayer la Russie de la carte.
« L’élite occidentale ne cache pas ses objectifs qui sont d’infliger une défaite stratégique à la Russie, c’est-à-dire qu’un conflit local doit entrer dans une phase d’affrontement mondial », a affirmé le président russe devant les parlementaires.
Et de poursuivre : « Regardez ce qu’ils font avec leurs propres peuples : la destruction des familles, des identités culturelles et nationales, la perversion et la maltraitance des enfants jusqu’à la pédophilie, sont déclarées comme étant la norme, c’est la norme de leur vie. Et les prêtres sont obligés de bénir les mariages entre homosexuels. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent ! »
Vladimir Poutine achevé son « discours à la nation » par une annonce lourde de menace : la suspension par la Russie de sa participation à l’accord New Start sur le désarmement nucléaire.
Ukraine. Conséquence de la guerre et de l’émergence d’un sentiment national font que dans ce pays très largement russophone la guerre linguistique est déclarée au profit de l’ukrainien. En mars 2022, 76 % des habitants le désignait comme leur langue maternelle.
Vatican. Le pape a formellement validé un rescrit, sorte de décret juridique, retirant quasiment tout pouvoir de gestion du dossier traditionaliste aux évêques locaux, au profit du seul Vatican.
Rome devient ainsi le seul à donner l’autorisation à de jeunes prêtres de célébrer la messe selon l’ancien missel de 1962, mais surtout le seul à permettre à une église paroissiale de dire la messe selon l’ancien rituel, c’est-à-dire en latin.
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