Le Samedi 16 Septembre avait lieu dans le centre de Lyon la réunion publique du Bastion Social. Devant une assemblée composée d’environ quatre-vingt personnes, la présentation co-animée par Steven Bissuel, président du mouvement et Armand Desargues, porte parole, avait pour finalité de présenter en profondeur les motivations, les grands axes et les enjeux du jeune mouvement.
Le Bastion Social est un mouvement né lors de la prise d’un bâtiment au cœur du deuxième arrondissement de Lyon : « Cette réquisition solidaire avait pour but d’offrir un logement aux Français précarisés ainsi que de pallier aux manquements de l’État et son incapacité à assurer sa mission régalienne. La volonté commune d’une réalisation concrète étant préférée à l’inaction et à la léthargie des partis conventionnels ».
Aujourd’hui, le Bastion Social devient un mouvement national ayant pour finalité tangible la prise d’autres bâtiments sur l’intégralité du territoire français ainsi que la création de sections locales et enracinées. Il ne nie pas l’influences d’organisations populaires européennes telles que le Hogar Social basé à Madrid, ou plus encore Casapound Italia, précurseur en Europe et qui reste « une référence incontestable ».
Les moyens d’action : tractages, collages, maraudes et réunions publiques. La volonté de parler aux Français est sans cesse rappelée : « un soutien massif est primordial à la fondation d’une communauté propre amenant à une véritable dynamique populaire ».
Le Bastion Social repose sur trois grands axes :
L’autonomie : « car il est temps pour les Français de redevenir maîtres de leur destin ».
L’identité : « car elle est le fondement de toute société humaine. L’historien et essayiste Dominique Venner, que les militants du mouvement aiment à citer rappelait que : comme les plantes, les hommes ne peuvent se passer de racines ».
La Justice Sociale : « car l’entraide et la solidarité communautaire représentent des obligations que les Français doivent à tous ceux qui souffrent du système capitaliste marchand et individualiste ».
Armand Desargues, porte-parole de l’organisation ajoute : « Le Bastion Social est une véritable alternative d’avant garde, un mouvement officiel ayant pour finalité de constituer des sections sur tout le territoire national soit par la prise de bâtiments, soit par l’ouverture de locaux « .
L’accent est mis sur le recrutement, la connaissance de chaque militant, la formation des cadres.
La symbolique du phare
Symbole du mouvement est le phare : « il évoque l’espoir pour qui affronte la tempête, c’est le point de repère de ceux qui sont à la dérive. Il résiste aux assauts répétés de vents et marées, il est l’emblème de verticalité, de force face à une civilisation en liquéfaction en proie au libéralisme marchand, au collectivisme marxiste et au déplacement des populations. Le Bastion Social appelle un nouveau militantisme tourné vers le futur et non figé dans le passé. Deux choix s’offrent aux Français: être contemplatifs ou au contraire être acteurs et maîtres de leur destin. La victoire est le but ultime auquel aspirent tous les membres ; viser plus haut et plus grand, résume l’idéal des militants ».
Steven Bissuel, le président du mouvement déclare : « Nous voulons rendre l’Europe aux Européens en la décolonisant totalement par le haut, via la finance internationale et le mondialisme, et par le bas, via l’immigration massive ». La volonté révolutionnaire est rappelée, tout comme celle de s’implanter progressivement et durablement. Pour Steven Bissuel, la France a des racines profondes qui ne gèlent pas : « Le Bastion Social parlera et agira pour le peuple ».
Cette première réunion publique fut manifestement un succès, elle a permis au mouvement et à ses cadres de présenter les enjeux et les volontés futures.
Article paru sur le site Rhône-Alpes info.
Steven Bissuel a été l’invité de l’émission « Synthèse » sur Radio Libertés (cliquez ici).
Vous avez aimé cet article ?
EuroLibertés n’est pas qu’un simple blog qui pourra se contenter ad vitam aeternam de bonnes volontés aussi dévouées soient elles… Sa promotion, son développement, sa gestion, les contacts avec les auteurs nécessitent une équipe de collaborateurs compétents et disponibles et donc des ressources financières, même si EuroLibertés n’a pas de vocation commerciale… C’est pourquoi, je lance un appel à nos lecteurs : NOUS AVONS BESOIN DE VOUS DÈS MAINTENANT car je doute que George Soros, David Rockefeller, la Carnegie Corporation, la Fondation Ford et autres Goldman-Sachs ne soient prêts à nous aider ; il faut dire qu’ils sont très sollicités par les medias institutionnels… et, comment dire, j’ai comme l’impression qu’EuroLibertés et eux, c’est assez incompatible !… En revanche, avec vous, chers lecteurs, je prends le pari contraire ! Trois solutions pour nous soutenir : cliquez ici.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Navigation de l’article
EuroLIbertés est le site de la réinformation européenne.