par Claudine Dupont-Tingaud (Réagir, Résister Et Agir)
Une sombre repentance… Celle du président Macron, lors des célébrations du 75e anniversaire du débarquement en Provence de nos troupes coloniales, en s’excusant, une fois encore, que la France ait « colonisé » une partie de l’Afrique – comme nous-mêmes l’avions été par les Romains malgré la résistance d’Astérix et consorts, ainsi que firent d’autres nations – envoyant ses ressortissants d’outre-méditerranée participer aux trois dernières guerres européennes… et surtout celle de 39-45 !
Libération qui inspira une autre Marseillaise : « C’est nous les Africains qui revenons de loin, venant des colonies pour défendre la Patrie… avec une invincible ardeur… pour porter haut et fier le beau drapeau de notre France entière » !
Il s’agissait alors pour cette 1re Armée Française de 225 000 hommes commandée par le général De Lattre de Tassigny – et pour moitié composée de ceux que l’on appellera les Pieds-noirs – de participer à l’effort patriote, et c’est bien la reconnaissance de cet engagement dont nos concitoyens attendaient quelque retour de solidarité… au lieu d’être lâchement abandonnés par la Métropole et bien plus encore nos Harkis… dans les années gaullistes de 1960 !
Au-delà de la juste reconnaissance de tous nos nationaux hors métropole, comme ils l’étaient, à l’époque, dans les deux Afriques françaises – AEF et AOF – et dont l’existence n’avait jamais été niée avant que l’actuel chef de l’État s’exprime pour nous imposer une double culture afin de satisfaire sa gauche « immigrationiste » et de justifier une colonisation à rebours sur notre sol puisqu’« une part d’Afrique est en nous » a dit le chef de l’État… ils sont chez eux chez nous !
Oublieux volontairement de la mission des explorateurs, défricheurs, enseignants et évangélisateurs qui apportèrent notre civilisation occidentale face à des mœurs barbares que certains reconquérants pratiquèrent du reste auprès de femmes européennes lors de la Libération comme le font actuellement certains « réfugiés »…
Hommage de soumission… mais sûrement pas de résistance, malgré l’emballage verbeux du discours.
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