4 septembre 2021

Après le « vivre ensemble », le « vivre avec les terroristes »

Par Philippe Randa

Les écologistes nous ont habitué à bien des facéties ! À tel point que le commun des mortels s’interroge même fréquemment : « Mais où s’arrêteront-ils ? »

Ainsi, Sandrine Rousseau, candidate à la primaire du parti EELV pour la prochaine échéance présidentielle, a fait fort, trop fort et même excessivement fort en déclarant à propos du rapatriement des réfugiés afghans qui posent quelques soucis à la classe politique ces temps derniers ; selon elle, s’« il y a des personnes qui sont dangereuses, qui sont terroristes, ce n’est pas parce qu’ils restent en Afghanistan qu’ils sont moins dangereux… Donc quelque part, le fait de les avoir en France, ça nous permet aussi de les surveiller. »

Dans le mille, Mimine ! En voilà un raisonnement aussi imprévu que nouveau et néanmoins judicieux qui mérite sans doute un premier prix d’humour noir, et même carbonisé !

D’ailleurs, les réseaux sociaux n’ont pas manqué de relayer la dinguerie comme il se doit, propulsant de fait l’Einstein en jupon de la politique verte, sinon en tête de la Primaire de son parti, du moins en outsider du « Trophée zinzin » 2021 !

La France étant une terre d’accueil comme ils sont tant à le répéter, un tel raisonnement pourrait même nous inciter à aller plus loin encore dans le don de notre pays à soulager les tracas de la planète : pourquoi la France ne lancerait-elle pas un appel d’offre à accueillir tous les détraqués de la planète pour mieux les empêcher de nuire… aux autres ?

Après la France « mère des arts, des armes et des lois » selon le poète Joachim du Bellay (Les Regrets, 1558), une France « asile des pleurs, des bombes et de la Charia » selon Sandrine Rousseau, vaste programme !

Force est de constater que les écologistes repoussent sans cesse les limites d’une intelligence qui, à trop forcer sur le vegan comme d’autres sur le gros rouge qui tâche, laisse supposer d’inquiétantes mutations de leurs représentants les plus médiatiques… le reste du troupeau n’étant guère en reste, d’ailleurs !

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