9 octobre 2021

250 promesses plus woke pour la mairie de Montréal

Par Rémi Tremblay

Valérie Plante annonce ses engagements pour une ville plus woke

Valérie Plante, la woke mairesse de Montréal qui espère se faire réélire le 7 novembre prochain, a récemment produit une liste de pas moins de 250 promesses pour la métropole québécoise, « sa » ville, qu’elle aimerait éventuellement voter dotée du statut de « cité-État ».

La confection de la liste a dû représenter un exercice intéressant. On imagine fort bien les conseillers en séance de brainstorming, jeter des dizaines d’idées décousues sur la table, puis, ayant été trop prolifiques dans cet exercice, ils ont simplement décidé de ne pas faire le tri et de tout garder.

Après tout, plus aucun électeur ne croit aux promesses des politiciens, alors pourquoi se limiter, tout ça est gratuit !

Et puis bon, chaque promesse peut attirer quelques électeurs, qui auront le temps de les oublier avant la fin du mandat. Et en plus, lors de débats à venir, on pourra simplement sortir une promesse tirée du quart de millier qui a été mis par écrit.

La seule conclusion qu’on peut tirer, c’est que les rares électeurs crédules, qui voteront pour ces engagements, seront déçus. Plante n’a aucunement l’intention d’appliquer ce programme en entier, et si c’est réellement le cas, il lui faut impérativement retourner à la maternelle apprendre les rudiments des mathématiques.

Mais au-delà du manque de sérieux de ces promesses, qui se chiffrent en milliards dans une ville qui peine à payer ses factures courantes, il s’en dégage… le néant. Valérie Plante, comme la plupart des politiciens modernes, n’a aucune vision tangible ; elle espère avoir le mandat de gérer à la petite semaine, tout en distribuant quelques bonbons ici et là, sans importance, mais qui paraissent bien. Des mesures dans l’air du temps, le livre de promesses en regorge, mais on peine à voir l’impact écologique qu’aura réellement l’aide financière pour acheter des vélos pour handicapés. C’est un programme basé sur les apparences, qu’on présente comme audacieux et novateur, alors que c’est le statu quo, agrémenté des mille et une nouvelles dépenses tout aussi inutiles, qu’anecdotiques.

Toutefois, au-delà de cette première analyse, il faut creuser un peu plus loin. Après tout Valérie Plante est une idéologue. Elle n’est pas aussi naïve qu’on le croit et ses multiples professions de foi woke et mondialiste nous l’ont démontré plus d’une fois. Son appui au Pacte mondial sur les migrations de Marrakech et son refus d’arborer le fleurdelisé avaient suscité l’indignation, mais depuis, la covid a enterré l’affaire.

On retrouve donc quelques perles dissimulées ici et là dans ce fourre-tout. On remarque d’abord qu’elle fait partie des complotistes influencés par l’anglosphère, croyant à un « racisme systémique » et cela en dépit de la discrimination positive et de tous les programmes d’aide réservées aux minorités visibles. Elle propose ainsi de combattre « ce fléau » donquichottesque, en engageant notamment moins de Blancs : désormais, 35 % des postes de la fonction publique montréalaise seront réservés aux « racisés ».

L’idéologie woke n’étant pas que raciale, les « différents sexes » (sic) n’ont pas été oubliés. Elle compte ainsi créer « un centre communautaire LGBTQ2IAS + (sic) ainsi qu’un lieu-hommage à la mémoire des luttes pour la diversité sexuelle et de genre » en plus d’« implanter l’Analyse différenciée selon les sexes et intersectionnelle (ADS +) à la grandeur de la Ville, pour une meilleure égalité, incluant au sein des sommaires décisionnels », promesse indéchiffrable au commun des mortels, qui veut toutefois probablement dire quelque chose.

Avec l’ensemble de ces mesures, Plante désire faire de Montréal un endroit où l’on veut vivre. Certes, la ville continue d’attirer chaque année des dizaines de milliers de ressortissants du Tiers-Monde, mais en parallèle, la métropole se vide de ses « citoyen·nes établi·es » (sic), expression atroce signifiant Québécois de souche. Jamais l’exode vers le reste du Québec, ce que les Américains appellent le White Flight, n’a été autant marqué et Valérie Plante promet de tout faire pour accélérer ce processus.

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