Scandale pédophile et racisme anti-Blanches à Telford
par Pierre Malpouge.
Des jeunes filles blanches, pour la plupart mineures, sous la coupe de gangs indo-pakistanais et réduites en esclavage sexuel : tel est le scandale qui secoue depuis quelques jours l’Angleterre et plus particulièrement laville de Telford située au centre de l’Angleterre, dans le comté de Shropshire.
Le scandale a éclaté à la suite d’une enquête publiée le 11 mars dernier dans le tabloïd Sunday Mirror. Il a « choqué et horrifié » le Premier ministre britannique Theresa May : selon le tabloïd, jusqu’à un millier d’enfants, essentiellement des jeunes filles blanches issues de la classe ouvrière, dont les plus jeunes âgées de 11 ans, ont été les proies et les victimes d’agressions sexuelles, de coups et de viols, parfois collectifs, depuis les années 1980. Les auteurs de ces viols : des gangs d’indo-pakistanais qui, profitant de la fragilité psychologique et de la vulnérabilité de leurs victimes, n’avaient ensuite aucun scrupule à les prostituer. Une adolescente de 14 ans a confié « avoir été forcée d’avoir des relations sexuelles avec plusieurs hommes dans des restaurants de vente à emporter ou des maisons dégoûtantes ».
Une affaire horrible qui montre la limite des bienfaits de la diversité, de « l’apport culturel » – tant vanté par toutes les bonnes consciences du monde – et des mœurs venus d’ailleurs, mais également du peu de respect et du racisme de ces populations d’importation à l’égard des Blancs et surtout des femmes, jeunes ou moins jeunes, Blanches considérées comme de la marchandise bonne à tout faire et menacées des pires représailles si elles parlaient. Une exploitation, une traite des Blanches, qui plus est de mineures, qui n’est pas sans rappeler une autre affaire du même type survenue en 2017 à Rotherham où des chauffeurs de taxi, là encore pakistanais, avaient réduit des jeunes filles en esclavage sexuel.
Peur d’être accusés de racisme ? Crainte d’attiser les tensions interraciales ? Toujours est-il que, depuis la publication de cette abomination, une enquête – tardive – a été ouverte vendredi afin de déterminer si les institutions ont suffisamment protégé les petites Blanches de Telford, à commencer par les services sociaux aveugles – comme l’a confié la gamine de 14 ans citée plus haut qui, « au moins deux fois par semaine, se rendait dans une clinique locale pour prendre la pilule du lendemain sans que personne ne lui pose de questions » –, la police et la municipalité qui ont échoué à démanteler ce réseau d’origine indo-pakistanaise.
Plutôt que de se poser la question « Pourquoi ce lâche silence devant cette horreur, devinez ? », comme l’ont notamment posée Gilbert Collard et plusieurs élus du Front national, le magazine Nouvel Obs, lui, s’inquiète que ces révélations réactivent « bien des préjugés et des fantasmes ». Il est vrai, comme l’explique Geoffroy Lejeune de Valeurs Actuelles, que « quand il s’agit de racisme anti-Blanc, on se trouve toutes sortes d’excuses pour ne pas choquer les populations d’origine immigrée ».
Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.
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